Qui es-tu ? [Rp Alex][Fini]

Voilà une semaine que je suis installé dans le lycée Maria dès le premier jour j'ai eu une mission. Je dois tuer l'enfant d'une riche personne, son prénom on s'en fout, vous en avez pas besoin. Je ne vais pas vous divulguez toutes les informations, vous devez seulement savoir qu'on m'a demandé de le tuer en moins de 2 semaines. Le délai est tellement enfantin pour moi même un enfant de 10 ans peut tuer une personne en deux semaines enfin cela m'a permis de me renseigner sur lui pendant ma première semaine. Cela fait 7 jours que je l'épie et ce que je vois ne me plait pas tellement. J'adore ce qu'il fait, il tape des autres personnes, une véritable brute cet enfant, enfin je ne vois pas l'intérêt de taper quelqu'un, alors qu'il a de meilleur façon de faire du mal à quelqu'un, mais bref m'on travail n'est pas de juger cette personne, mais de le tuer pour je ne sais quelle raison. Tant que je peux devenir le bras droit du chef et en même temps la meilleure tueuse cela me suffit largement, les autres raisons cela ne m'intéresse pas, moi tout ce que je veux s'est pouvoir monter en grade, oui je suis égoïste, je pense qu'à moi, vous avez un problème avec cela ? A votre place j'éviterais de me contrarier, j'adore tuer et blesser les autres ne l'oublier surtout pas. Bon je m'égare, donc j'ai épié ce petit et je sais qu'il va tous les jours dans une usine désinfectée pour s'entraîner à la boxe dommage pour lui cet façon de combat ne le sauvera pas. Aujourd'hui, j'ai décidé de passer à l'attaque, alors quoi de mieux avant de passer à l'acte de choisir mes armes, je préfère les armes blanches, j'en prend donc toujours deux avec moi et aujourd'hui je choisi les plus belles, je l'ai forgé moi-même avant de venir ici. Enfin si cela tourne mal, les armes blanches ne me sauveront pas la vie même si je suis très douée avec, je prend donc aussi une arme à feu. Après avoir choisir mes armes de mort, je m'habile d'un pantalon noir et d'un maillot en col v de la même couleur, mes chaussures, elles sont des converses blanches avec des têtes de mort dessus, je n'aime pas être habillé comme cela, mais je ne peux pas me battre en robe. Bon allez direction l'usine désinfecté, je sors de la fenêtre de ma chambre d'internat, je grimpe les grilles de l'établissement et hop je suis dehors sans m'avoir fait prendre par un surveillant.

Quand j'arrive à l'usine, j'entends des coups, je rentre par le porte de derrière pour pas qu'on me remarque si il y a une autre personne que ma victime. Je vois le jeune blond qui sait fait taper toute la semaine par lui qui lui donne des grands coups de pied dans le ventre. Je me retiens de soupirer. J'ai très bien remarqué que ma victime est inconsciente, mais pas encore morte, il faut que je l'arrête avant que le mérite de sa mort soit attribuer à un petit idiot qui se battre la journée et qui se venge quand la personne ne s'y attend pas. Je prends ma voix la plus froide.

Qui es-tu ? Pourquoi t'en prendre à cet enfant ?

Je tiens mes armes blanches au cas où qu'il a de mauvaise attention à mon égard, je ne dois pas tuer d'autres personnes normalement, mais il ne doit pas non plus avoir de témoin.

Armes:

«- Que fais-tu ? Pourquoi tu ne te défends pas ? Pourquoi tu le laisse abîmer ton visage ? Ça t'éviterai de recouvrir ton visage de pommade. Et arrête de pleurer. C'est pas en te passant de l'eau sur ton visage que tu va cacher tes larmes. Elles se voient parfaitement. De toute manière, c'est pas comme si quelqu'un d'autre se faisait du soucis pour toi. N'en as-tu pas marre ?

Oui, ces paroles sortent de ma bouche, mais ce n'est pas moi qui parle. Enfin, ce n'est pas le même moi. Encore une fois, ce matin, je me suis fait frapper par cette brute à l'école. Roger. Voilà quelques semaines qu'il m'a prit comme cible favorite et m'a proclamé comme son punching ball personnel. Il faut croire que rien n'a changé. Roger, il est comme mon père. Sauf que lui, il ne se cache pas. Lorsque quelque chose l'énerve, il gueule mon nom dans les couloirs et j'accoure pour me faire frapper. Pourquoi je ne me rebelle pas ? En fait, c'est le seul ami que je me suis fait depuis que je suis arrivé dans ce nouveau lycée. Plutôt pathétique, je sais. Du coup, je ne bronche pas. Après tout, ça ne ferait qu'empirer, et puis après quelques coups au ventre et au visage, il me laisse tranquille. Encore une fois, ce matin, il s'en est prit à moi. Il avait eu une mauvaise note en cours. Un foutu 0. Bien sur, il avait besoin de tout de suite passer ses nerfs sur quelqu'un et naturellement, c'était sur moi. Il m'a bloqué contre un mur et enchaîné de droite dans le visage. Il m'a laissé le nez en sang, puis s'est acharné sur mon ventre, jusqu'à que j'en ai la nausée. J'ai tenu bond, malgré les larmes qui coulait, mais personne ne réagissait. Tous m'entourant, à regarder ce spectacle, assoiffé de sang. Enfin, je peux parler. Je dois être le plus pathétique pour m'être laissé complètement faire et m'être relever, une fois Roger calmé, pour m'en aller sans rien dire et en souriant...

«- Tu sais que tu es pathétique ? Défend toi un peu, ne le laisse pas continuer. Cela ne te gêne pas que ce type s'en prend à toi ? Ce type qui ressemble tant à père. »

«- Que veux-tu que je fasse ? Qu'est-ce que tu veux ? C'est mon seul ami. Tu sais bien que c'est dur d'être seul. Tu n'es rien d'autre qu'un produit de mon imagination, tu peux pas comprendre. Tu peux pas comprendre ce que ça fait d'être seul, d'être maltraité. Pourquoi moi ? Je n'ai rien fait. Je ne peux rien faire... »

«- Tu sais que c'est faux. Le seul qui te comprend, c'est moi. Mais comment veux tu le comprendre si tu ne te comprend pas toi même. Hey, t'es pas entrain de pleurer là ? »

Je ne m'en étais pas rendu compte, mais les larmes commençait à couler de plus belle sur mes joues. Qu'avais-je fais de mal ? Je ne me comprenais pas et me voilà devant mon miroir, les larmes aux yeux, entrain de m'apitoyer sur mon sort et me parler à moi même. Impuissant, je tapais mon miroir avec mon poing, puis avec mon front.

«- J'en ai marre.... marre, marre !! »

Me disais-je, avant de me mettre assit contre un mur, serrant mes genoux près de moi, me roulant en boule comme un hérisson. J'étais mieux comme ça, protégé. Je pouvais laisser mes larmes coulaient, oublié tout ça.... Oublié cette journée de plus... Ce cauchemar continue que je vis depuis mon enfance.....

*****

Je me baladais, comme à mon habitude, cette nuit-là dans les rues de la ville. Lorsqu'il fondait en larme et finissait par se recroqueviller sur lui même, il finissait toujours par disparaître et me laisser prendre sa place. Je prend alors le pouvoir. Cette nuit-là, je m'étais décidé de prendre une veste noir, sur un t-shirt blanc, ainsi qu'un jeans noir déchiré. J'étais sortit rapidement, en évitant les surveillants à cause du foutu couvre feu, trois couteau suisse dans ma poche. J'étais tout simplement sortit, pour me changer les idées. L'état d'Alex m'énervait. Dire qu'il ne prenait pas soin de mon doux visage. Je n'aimais pas qu'on touche à mon visage, qu'on l'abîme. J'en suis fière de ce visage, après tout. Surtout si c'est un petit merdeux qui est fautif de ça. J'étais plutôt énervé cette nuit-là. J'avais l'envie de planter quelqu'un mais le sort m'avait fait une belle surprise ce soir là. Alors que je marchais un peu loin de la ville, m'éloignant des rues principaux, j'approchais vite d'une usine désinfecté hors de la ville. J'avais d'abord estimé qu'il n'y avait aucun intérêt d'y aller et m'apprêtait à faire demi-tour quand je vu une silhouette s'y introduire. J'étais pratiquement sûr que c'était lui, et je devais en avoir le coeur net. Alors, je m'avança. Je m'approcha de l'usine où l'homme était entré, et je le vu, alors, frappant sur un punching ball au milieu du grand hall. Un sourire s'afficha sur mon visage... Un sourire de satisfaction mélangé à un petit air sadique et vengeur. Appelez ça le karma ou ce que vous voulez, mais c'était lui, Roger... L'homme qui avait fait d'Alex son souffre douleur. Je m'étais approché de lui, me tenant le front en essayant de me retenir de rire, mais c'était plus fort que moi. J'avais un rire de psychopathe. Cette situation me faisait tellement rire et bien sur, son intention vu attiré par mon rire. Il se retourna vers moi et d'un air inquiet lança un

«- Qui va là ? »

Je ne pouvais m'empêcher de rire, c'en était trop, alors que je m'approcha de lui. Un faible lampadaire nous éclairé enfin tout les deux et là, il put me reconnaître. Voir son sourire arrogant, fière et rassuré lorsqu'il me vu me donnait la nausée. Soudainement, il reprenait sa confiance et reprit alors.

«- Ah, c'est toi, tête de gland. Ça tombe bien, j'avais besoin d'un autre punching ball. »

Cependant, mon rire avait eu l'air de le surprendre. Il venait alors à me demander si ça allait ? Bien sur que ça allait... Je n'aurai jamais pu m'en douter que j'aurai la chance de mettre la main sur lui, ce soir là. J'étais amusé comme peu souvent, et le voilà, devant moi. Seul, sans défense. C'était le rêve. Ma main tremblait de joie alors que je m'approchais de lui. Il paru surpris puis pris peur quand il remarqua mon regard de tueur s'arrêtait sur lui, alors que j'avais sortit un couteau de ma poche et que je lui souriais d'un air sadique. Il tenta alors de me frapper mais eu la surprise de me voir riposté... Finalement, ce n'était qu'une grande gueule. Je n'ai eu aucune mal de le mettre à terre avec quelques coups de genoux bien placé, et je pu lui planter un couteau dans sa jambe pour l'empêcher de fuir. J'étais amusé. Il était paniqué. Quel doux moment, je ne voulais pas le finir si vite. J'étais décidé : ce soir, je le tuerai. Mais c'était bien trop tôt. Je voulais faire durée le plaisir, et je le frappa, encore et encore. Une heure passa, voir deux. Je ne sais plus depuis combien de temps je le frappais. Il ne bougeait plus, au sol, inconscient. Il ne donnait plus aucun signe de vie mais je riais, le frappant, le ruant de coup de pied à terre et m'abaissant pour lui envoyer des droites dans sa face lorsque je ne l'écrase pas tout simplement avec mon pied. Je m'amusais, comme un chat avec une souris qu'il vient de coincé. Je n'étais pas prêt de m'arrêter, mais quelqu'un me fit redescendre sur terre....

«- Qui es-tu ? Pourquoi t'en prendre à cet enfant ? »

Une voix de jeune fille, froide.... Mon visage s'assombrit. Quelqu'un venait de me dérangé pendant que je m'amusais. Je me tourna vers la personne, le regard froid. C'était une jeune fille aux cheveux bleus... Mais cela semblait être une perruque. Mon regard fut vite attiré par ses mains, remarquant qu'elle tenait des armes en main, puis je releva mon regard vers elle. Qui était-elle ? Qu'est-ce qu'elle me voulait ?

«- C'est plutôt bizarre de se déplacer la nuit avec ce genre d'âme. Qu'est-ce que tu viens faire dans une usine et puis, tu me semble pas bien plus âgé que cette m*rde qui recouvre le plancher, là. »

Suite à ces mots, je me retourna vers Roger, et m'accroupis pour retirer la lame que je lui avais planté à l'arrière de sa jambe. Mon regard restait cependant fixé sur la jeune fille, surveillant ses actions, alors que je plaça ma main droite devant la bouche de l'homme, pour ensuite venir planter le couteau dans ses côtes. Encore une fois, je guettais ses moindres gestes, et je fini de m’asseoir sur le corps de ce dernier, qui ne m'intéressait plus vraiment.

«- Pourquoi devrais-je te donner mon identité ? Tu pourrais me donner le tien avant de poser ce genre de question. Tu es quoi ? Une justicière ? »

Ma victime est pratiquement morte, je me retiens de soupirer. Pourquoi cet idiot se rebelle sur ma cible ? Je n'ai pas le droit à l'erreur ou bien je serais recalé, j'ai horreur d'échouer, alors je ne vais pas laisser cet idiot tuer la personne que je dois tuer. Il s'arrête en entendant ma phrase, cela me donnerai presque envie de sourire, mais je ne le fais pas. J'attends qu'il me répond, je tiens mes armes dans la main au cas où qu'il essayerait de tenter quelque chose contre moi. Même si je ne pense pas que je suis sa cible, je ne tiens pas à devoir me soigner une nouvelle fois toute seule, je déteste être blessé à cause d'idiot qui essaye de me faire du mal. Pourquoi tout le monde croit que parce que je suis une demoiselle, je ne sais pas me battre enfin comme on dit l'erreur peut être fatale surtout celle-ci. Il ne faut pas surestimer quelqu'un, alors je vais éviter de surestimer ce petit surtout que l'autre enfant est dans un mauvais état. Depuis quand le tabasse t-il ? Aucune idée. Au pire cela ne m'intéresse pas, il n'est pas mort, je n'ai pas encore échoué et heureusement sinon ce blondinet serait mort à la minute où je l'ai vu, bon je m'aurais d'abord amuser avec lui, mais cela est seulement pour mon plaisir.

«- C'est plutôt bizarre de se déplacer la nuit avec ce genre d'âme. Qu'est-ce que tu viens faire dans une usine et puis, tu me semble pas bien plus âgé que cette m*rde qui recouvre le plancher, là. »

Oh comme cela je suis bizarre cela me donne envie de sautiller, j'adore quand on remarque que je ne suis pas comme les autres et ce jeune garçon n'est pas comme celui qui se fait battre le jour. Il a bien sûr le même physique, je le reconnaîtrais partout où il va, mais il a une autre personnalité. En a t-il deux ? Il doit être malade enfin dans un sens je le suis aussi, non ? J'aime le goût de tuer et lui est différent de son autre personnalité. Je n'ai jamais croisé de personne qui a une double personnalité enfin ce n'est pas pour cela que je vais m'intéresser à lui, si ? Dans tous les cas, les rapprochements avec des autres humains ne font pas partie de ma mission. Être proche de quelqu'un veut dire être faible, on a un moyen de m'atteindre et je veux surtout pas qu'on me fasse du mal. Moi j'ai le droit de blesser quelqu'un, mais on n'a pas le droit de me blesser. Il se retourne vers l'enfant, il lui retire une arme, mmh donc il se sert d'armes blanches aussi. Nina reste calme ne t'énerve pas ou tu auras un risque de lui sauter dessus pour le mal qu'il fait à ta proie. Il met sa main sous la bouche de l'autre pour finir par planter son couteau dans ses côtes. Je soupire cela commence à être ennuyant, je dois le faire partir pour pouvoir le tuer ou bien je me serre de lui pour faire le travail, cela peut être une bonne idée, je verrai après en attendant ne le laisse pas tuer ta cible. Il me coupe dans mes pensées en parlant, cela me rappelle que je n'ai toujours pas répondu à sa première phrase.

«- Pourquoi devrais-je te donner mon identité ? Tu pourrais me donner le tien avant de poser ce genre de question. Tu es quoi ? Une justicière ? »

Bon je vais devoir parler, quelle perte de temps inutile enfin ma victime ne va pas s'enfuir vu l'état dans lequel il est. Bien sûr je ne lui donnerai pas mon identité, je vais plutôt me servir de ce que je sais sur sa première personnalité.

- Bon tout d'abord, tu me fais perdre mon temps, mais je suis disons de bonne humeur aujourd'hui, je ne t’attaquerai pas si tu n'essayes pas de me blesser et de taquer à lui. J'ai besoin de cette merde comme tu dis. Je sais que tu veux te venger de lui pour ce qu'il fait à ta première personnalité, mais cela n'est pas une raison. D'ailleurs je sais qui tu es, j'ai demandé seulement pour ton nom enfin dans un sens cela m'importe peu. Je te tuerais si tu ne laisses pas faire mon job. Franchement tu es réellement idiot, j'ai l'air d'être une justicière ? Enfin tu ne seras pas qui je suis, tu n'es guère intéressant. Oh et pour l'âge, tu n'es pas plus vieux que moi non plus, oublie le pas. Tu te crois fort, mais en faite, tu es seulement un enfant qui a peur de ce que lui font subir les autres. Tu te crois fort en blessant quelqu'un par derrière en réalité, tu es qu'un lâche.

Je joue avec l'une de mes dagues si y approche, je sors mon revolver, je n'ai pas de temps à perdre avec un idiot qui se croit fort et intéressant.

Cette jeune fille était apparu, avec ces faux airs supérieur, me privant de ce moment de joie avec ma victime du jour. J'étais frustré, ouais. Frustré qu'on me stoppe alors que je m'amusé autant. Je la regardais, c'était une fille plutôt étrange. Elle semblait prête à tuer, au vu des armes dans sa main. Ne manquant pas d'audace, elle me demandait même mon identité, vraiment ? Je pris mon temps avant de lui répondre, surveillant ses fais et geste, alors que je vins planter un couteau dans les côtes de ma victime, pour voir sa réaction. Sa seule réaction fut de soupirer. Enfin, c'est tout ce qu'elle avait pu laissé s'échapper. Enfin, elle réagit quand je lui répondis à ses questions, alors que je la regardais attentivement, assit sur ma victime du soir.

« - Bon tout d'abord, tu me fais perdre mon temps, mais je suis disons de bonne humeur aujourd'hui, je ne t’attaquerai pas si tu n'essayes pas de me blesser et de taquer à lui. J'ai besoin de cette merde comme tu dis. Je sais que tu veux te venger de lui pour ce qu'il fait à ta première personnalité, mais cela n'est pas une raison. D'ailleurs je sais qui tu es, j'ai demandé seulement pour ton nom enfin dans un sens cela m'importe peu. Je te tuerais si tu ne laisses pas faire mon job. Franchement tu es réellement idiot, j'ai l'air d'être une justicière ? Enfin tu ne seras pas qui je suis, tu n'es guère intéressant. Oh et pour l'âge, tu n'es pas plus vieux que moi non plus, oublie le pas. Tu te crois fort, mais en faite, tu es seulement un enfant qui a peur de ce que lui font subir les autres. Tu te crois fort en blessant quelqu'un par derrière en réalité, tu es qu'un lâche. »

Je la regarda d'abord d'un air surpris, ahuris, avant d'essayer de me retenir de rire. C'en était trop, j'éclaté de rire. Un rire plus de savant fou qu'autre chose, mais je rigolais, littéralement plié. Je me tenais le ventre tellement j'en avais mal, alors que je m'étais laissé retombé sur le dos pour exploser de rire. Elle croit vraiment me connaître ? C'en était trop, j'étais plié.

«- Hey, tu l'as entendu ? »*dis-je en essayant de me reprendre* «- Tu as entendu ce qu'elle nous as dis ? Ah non, c'est vrai, tu dors crétin. »

Je soupira et me remis assit, levant le visage de ma victime par les cheveux, avant d'approcher mon visage au sien, et rigolais.

«- Tu vois, par ta faute, ce qui arrive ? »

Dis-je, en rigolant, avant de relâcher violement sa tête, la laissant claquer le sol. Je surveillais bien sur sa réaction. Elle était plutôt sérieuse en disant qu'elle serait prête à me tuer si je ne le laissais pas tranquille. Franchement, si Alex arrêtait de se laisser marcher sur les pieds par peur de faire peur aux gens, cette situation n'arriverait pas. Je tenais ma tête dans ma main, reprenant mon souffle, encore amusé, avant de la regarder, avec un petit air de psychopathe. Un air fou. Elle se prenait pour qui elle, à croire nous connaître ? A croire de connaître les gens en se jugeant sur les apparences. Elle pensait savoir quelque chose sur nous en jugeant la vie de tout les jours d'Alex, mais au final, elle savait rien. Je lécha un peu de sang qui se trouvait sur ma joue et je repris alors.

«- Je vois... Je vois. Il y a erreur sur la personne. Laisse moi te donner des conseils. Premièrement, apprend à ne pas juger sur les apparences. Tu pense connaître quelque chose sur moi, laisse moi rire... Deuxièmement, je crois qu'il y a incompréhension totale. Il a eu sa chance de se défendre mais il pensait me "connaître" et m'a sous-estimé et voilà son état... Il ne peut s'en prendre qu'à lui même, enfin s'il était conscient. »

Je lâcha un petit rire, puis me leva, la regardant avec un sourire sadique. Elle m'intéressait celle-là. Elle était intéressante, je devais l'avouer, et puis elle avait compris que je n'étais pas l'autre Alex. Je surveillait ses mouvements, sortant un autre couteau de ma poche, jouant avec. Au bout de quelques secondes, je lâcha un nouveau rire, puis rangea mon couteau dans ma poche, et passa mes mains dans la poche. Non, j'avais pas envie de m'amuser avec ce soir. Elle était trop amusante. Je me tourna légèrement vers ma cible, puis soupira.

«- C'est idiot, vois-tu... Mais ce jeune homme à un peu trop profitait de la gentillesse de mon ami pour abîmer mon beau visage. J'ai une irrésistible envie de, tu sais.... le tuer. »*dis-je en passant ma langue sur mes lèvres. «- Je me fou carrément de ce qu'est ton job, et tes menaces de mort, sérieusement ? Tu as cru que j'avais vraiment peur de la mort ? A en juger par ton arsenal, tu dois être une tueuse. Sûrement de la mafia, je ne vois pas les services secrets utilisé des jeunes pour ce genre de boulot. Ça me va. Si ton but est de le tuer, je te demanderai juste de le faire là, maintenant... C'est plutôt normal, non ? Tu as gâcher mon petit moment de détente avec lui, tu peux bien faire ça. »

Suite à ces mots, je m'éloigna du corps de ma victime, pour aller m'approcher d'un mur, loin de l'éclairage du lampadaire. Je me mis assis contre le mur, loin de toute lumière, dans l'obscurité, afin de voir la scène. Voir ce qu'elle allait faire. Bien sur, je me doute qu'elle a un haut tempérament et qu'elle trouverait des choses à redire, mais avant ça je repris, avec un sourire plutôt arrogant, je le concède, sur mon visage.

«- On s'appel Alex... Ne sous-estime pas mon autre part de moi, il n'a pas peur des gens. Il ose juste pas affirmer sa vrai nature et s'en-tête à se dire qu'il aime pas la violence. Et je te rappel que c'est toi qui a appelé ce truc, là, un enfant. Je t'ai juste signaler que tu devais avoir le même âge, et à en juger par ce que tu viens de dire, tu as 17 ans, donc... Je suppose que tu es du même lycée que nous, donc. Les choses sont plutôt intéressante, je trouve... »

Il me fait perdre mon temps, je le déteste, non en fait je le déteste pas, le détester voudrait dire que je m'occupe de lui, alors quand réalité, je le trouve idiot et surtout chiant pour être au mauvais endroit au mauvais moment. Je m'amuse avec l'une de mes dagues, j'attends de voir comment il va réagir. Il me regarde d'abord avec un air ahuris et puis quelques minutes après il se met à rigoler comme un psychopathe. Je me retiens de l'étrangler, il m'énerve. Il ne peut pas partir et me laisser faire mon job ? J'en ai marre, j'avais prévu de tuer ma cible rapidement pour pouvoir me mettre au lit, mais à cause de lui mes plans sont contrariés. Je commence à être lasse, je devrai encore faire un rapport après la mort de ma victime qui n'est pas encore la mienne, mais celle d'une personnalité psychopathe. Franchement ce n'est pas le jour pour m'embêter, je devrais peut-être l'assommé cela me permettra de m'occuper de ma cible et de me sauver. Mmh ... Non en faite, il a décidé de m'ennuyer, alors je vais en faire de même et si ma patience s'effrite, je le tape sur la tête et voilà je serais tranquille pour le reste de la soirée. Il se parle à lui-même pour finir par parler à une personne inconsciente, il lui attrape la tête pour finir par la lâcher , il me regarde comme-ci que j'allais défendre ma cible, je n'ai pas que cela à faire, j'ai même envie qui la tue pour moi cela m'évitera de me salir les mains, bon après il faut que je me débrouille pour faire croire que s'est moi qui l'a tué, mais vu comment je suis sournoise, j'y arriverai.

«- Je vois... Je vois. Il y a erreur sur la personne. Laisse moi te donner des conseils. Premièrement, apprend à ne pas juger sur les apparences. Tu pense connaître quelque chose sur moi, laisse moi rire... Deuxièmement, je crois qu'il y a incompréhension totale. Il a eu sa chance de se défendre mais il pensait me "connaître" et m'a sous-estimé et voilà son état... Il ne peut s'en prendre qu'à lui même, enfin s'il était conscient. »

Oh il croit vraiment que je juge les apparences ? Que dis-je ? Il est vraiment idiot, il a remarqué que j'étais une fille et qu'on doit me juger et surtout me surestimer pourtant je ne suis pas ce que j'ai l'air d'être fragile. Je peux tuer un homme avec simplement un coup bien placé, mais je ne le fais par, car quand je tue quelqu'un je préfère utiliser mes armes, j'adore les objets tranchants qui font couler le sang à flot. J'aime peut-être le sang, mais jamais je ne toucherai au mien ou je laisserai quelqu'un y toucher. Je tiens trop à la vie pour cela, j'aime donner la mort, mais je ne veux pas perdre la mienne même si je sais que pendant l'une de mes missions je peux perdre ma vie et me faire attraper pour qu'on me torture, on m'a préparé à tout cela, mais je n'ai pas envie de penser à cela. La mort en soit ne me fait pas peur, mais je n'ai pas envie de mourir sans réussir mon objectif. Oh il dit quand faite il ne l'a pas attaqué par derrière cela me fait sourire mes paroles l'ont touchés dans un sens.

«- C'est idiot, vois-tu... Mais ce jeune homme à un peu trop profitait de la gentillesse de mon ami pour abîmer mon beau visage. J'ai une irrésistible envie de, tu sais.... le tuer. Je me fou carrément de ce qu'est ton job, et tes menaces de mort, sérieusement ? Tu as cru que j'avais vraiment peur de la mort ? A en juger par ton arsenal, tu dois être une tueuse. Sûrement de la mafia, je ne vois pas les services secrets utilisé des jeunes pour ce genre de boulot. Ça me va. Si ton but est de le tuer, je te demanderai juste de le faire là, maintenant... C'est plutôt normal, non ? Tu as gâcher mon petit moment de détente avec lui, tu peux bien faire ça. »

Il tient donc autant que moi à ne pas être abîmée tant mieux cela prouve qu'il ne me touchera pas, il doit savoir que je n’hésiterai pas à lui faire mal si il s'approche trop près de moi. Il s'en moque de ce qu'est mon job et de mes menaces, il n'a donc pas peur de la mort, s'est bien pour lui, mais bon qui a dit que je le tuerai rapidement ? J'ai tendance à être aussi folle que lui quand il s'agit de tuer pour le plaisir. Mmh ... Une tueuse ... Intéressant tout cela, il n'est pas si idiot enfin de compte, il a remarqué que je devais tuer cet enfant. Il croit être en position de me demander quelque chose ? Je ne le tuerai pas devant lui, je ne suis pas quelqu'un de charitable. Oh il est triste, car je lui ai gâché son moment, mais lui aussi a gâché ma soirée, donc non je ne ferais pas cela, il peut aller se faire foutre, mais bien profond. Il se recule contre le mur pour s'asseoir, il veut sans doute regarder le spectacle. Dommage pour lui, je ne me donne pas en spectacle. Je peux donc lui mettre un bal dans la tête et basta, je ne sais pas.

«- On s'appel Alex... Ne sous-estime pas mon autre part de moi, il n'a pas peur des gens. Il ose juste pas affirmer sa vrai nature et s'en-tête à se dire qu'il aime pas la violence. Et je te rappel que c'est toi qui a appelé ce truc, là, un enfant. Je t'ai juste signaler que tu devais avoir le même âge, et à en juger par ce que tu viens de dire, tu as 17 ans, donc... Je suppose que tu es du même lycée que nous, donc. Les choses sont plutôt intéressante, je trouve... »

Que du blabla, bon faudrait peut-être que je lui réponds. Je ne sais pas encore ce que je vais faire. Je tue ma cible devant lui et j'ai un témoin qui n'ira rien dire ou j'attends qu'il décide à partir pour le tuer ? Bon pour le moment, je choisi l'attente.

- Tu trouves que les choses sont intéressantes pas moi. Si je suis à l'école ? Peut-être peut-être pas. Moi une tueuse de la mafia ? Qui sait ? Moi, mais je ne te le dirai pas en faite je ne te dirai rien sur moi. Ton prénom comme toi et ta première personnalité ne m'intéresse pas quand vas-tu le comprendre ? Je ne suis pas la gentille petite fille avec qui tu auras une relation amicale. Pour cela il faudrait que tu ne sois pas toi et que je ne suis pas qui je suis. Tu veux que je le tue devant toi, je pense que tu rêves, tu as gâché ma soirée, je gâche la tienne cela est un retour des choses. Je ne me donne pas en spectacle.

Je m'avance vers lui, je n'ai pas peur, je lui montre même que je laisse mes armes à terre, je n'en ai pas besoin pour ce que je veux faire. J'ai envie de m'amuser avec lui, alors c'est partie. Dès que j'arrive à sa hauteur, je m'accroupis, je prend ses couteaux et les jettent au loin, je n'ai pas envie de me retrouver avec une lame dans le bras ou ailleurs. Je le bloque contre le mur, je lui murmure à l'oreille.

- Tu es à moi cette nuit

Quand ma phrase est fini, je ne lui laisse pas le tend de répondre que je l'embrasse. Le baiser n'est pas doux ni violent, il montre seulement que je m'amuse avec lui.

Ma seul présence semble l'énerver. Elle devait sans doute pas s'attendre à ma présence. J'avais vu juste, c'était vraiment une tueuse, au vue de l'agacement que provoquer ma présence. C'est dommage pour elle, mais j'avais bien envie de m'amuser avec sa victime. Tant pis pour elle, elle n'avait pas de chance. C'était ma victime, elle pouvait bien attendre que je m'amuse avec. Enfin, je dis ça, mais mon envie s'était considérablement réduit à cause d'elle. Cela ne m'amusait plus de frapper sur cette merde ambulante qui se trouvait à mes pieds. Enfin, elle avait réussi à me soutirer un rire et à attirer ma curiosité. Pour une fois, je me décidais à choisir l'option calme, après avoir longuement hésité, et je suis partit aller m'asseoir dans l'obscurité, lui laissant sa victime. Cependant, j'avais hâte de voir sa réaction. Je venais de lui donner ce qu'elle voulait, mais au final, elle pourrait se sentir perdante de l'échange si elle tuait tranquillement sa cible. J'étais curieux de voir si elle était du genre à avoir une fierté... Quelque chose qu'on a pas, ni moi, ni mon autre moi.

«- Tu trouves que les choses sont intéressantes pas moi. Si je suis à l'école ? Peut-être peut-être pas. Moi une tueuse de la mafia ? Qui sait ? Moi, mais je ne te le dirai pas en faite je ne te dirai rien sur moi. Ton prénom comme toi et ta première personnalité ne m'intéresse pas quand vas-tu le comprendre ? Je ne suis pas la gentille petite fille avec qui tu auras une relation amicale. Pour cela il faudrait que tu ne sois pas toi et que je ne suis pas qui je suis. Tu veux que je le tue devant toi, je pense que tu rêves, tu as gâché ma soirée, je gâche la tienne cela est un retour des choses. Je ne me donne pas en spectacle. »

Bingo... Bingo..... Bingo !! J'avais du mal à dissimuler mon sourire de satisfaction devant ses dernières paroles. Comme je l'avais imaginé, elle avait une trop grosse fierté pour accepter le cadeau que je venais de lui offrir. En tout cas, pas de la façon que je l'avais fait. De plus, elle avoué à demi-mot ce que j'avais deviné sur elle. Elle refusait de dire quoique ce soit sur elle, mais elle en avait plus dis qu'elle pouvait le penser. Elle n'avait pas nié d'être à l'école, ni d'être une tueuse de la mafia... Elle l'avait même admis en disant qu'elle ne le tuerai pas devant moi. Je m'empêchais de rire à ses mots. Si elle savait. Elle semblait avoir aussi eu sa soirée gâché par moi. C'était réciproque. Je n'en avais que faire que je ne l'intéressait pas. Cela m'intéresse pas. On sera toujours seul, c'est une réalité. L'être humain est toujours désespérément seul. Mais d'une certaine manière, elle m'intéressait. Justement car ce n'était pas une gentille petite fille... Je la trouvais amusante, d'une certaine manière. Et voilà qu'elle déposait ses armes à terre, avant de s'avancer vers moi, comme pour me mettre en confiance. Je savais bien qu'elle devait sûrement savoir tué même désarmé, au vu de ce qu'elle est sûrement, mais je ne fis rien. Je voulais voir ce qu'elle allait faire. Arriver à ma hauteur, elle venait s'accroupir face à moi. Dommage qu'il n'y avait pas de lumière, j'étais curieux de voir son expression. Avec ses mains, elle venait me privé de tout mes couteaux qu'elle balançait au loin. Je suppose que sans arme, la tueuse sur-entraîné reprend l'avantage sur moi. J'étais amusé... Excité même. J'avais un grand sourire sournois sur mon visage. Surprend moi ! Surprend moi ! Oh, je m'étais pas trompé sur elle. Elle est vraiment intéressante, et voilà qu'elle me bloque contre le mur. Je la fixé dans les yeux, même si l'obscurité m'empêchait de bien la percevoir.

«- Tu es à moi cette nuit»

Avait-elle glissé à mon oreille. Elle reprenait l'avantage. L'avais-je donc vraiment vexé ? J'avais envie de rire, à nouveau, mais cette fois, elle ne me laissa pas faire. Non, elle venait de m'embrasser. Ni autoritaire, ni passionné. Non, c'était clair, elle voulait s'amuser avec moi. Le prix pour avoir gâché sa soirée ? Je me laissais faire, amusé, la regardant faire. Lorsqu'elle brisa ce baiser, je passa par automatisme ma langue sur mes lèvres, en abordant un sourire d'amusement. Après tout, j'allais aussi m'amuser, tiens.

«- Encore une fois, tu te trompe... Je ne sous-estime pas les gens et je vois bien que tu n'es pas la petite fille bien sage. C'est pour ça que tu as attisé ma curiosité. Je veux voir ce que tu as derrière la tête. Mais puisque tu ne veux pas le tuer tout de suite, soyons honnête. Tu veux que j'appartienne cette nuit, soit. Mais si tu n'es pas capable de me "tenir en laisse", ne serait-ce que quelque seconde, et crois moi que j'irai le finir lui... Que cela te dérange ou non. »

J'avais laissé mes armes à terre. Je me sépare rarement d'elle même quand je ne suis pas en mission, j'ai toujours un poignard dans l'une de mes chaussures ou dans mon sac. Je ne peux pas me permettre d'être imprudente pourtant ce soir je le suis à cause de ce garçon, Alex. J'ai envie de le taper pour ce que je fais. Des gens peuvent venir d'une minute à l'autre et si ils me découvrent dans cette position, je suis morte. Bon je sais très bien que les personnes qui mettent pour surveiller, je peux les battre facilement, mais je n'ai pas envie de mêler Alex à ma vie. Il serait encore plus en danger qu'il l'est déjà et moi aussi. Quoi de plus simple de s'en prendre à quelqu'un d'autre qu'une tueuse entraîné jour comme nuit ? Je n'ai pas envie de devoir protéger quelqu'un, mais si on me voit avec lui, je serais obligée. Je ne permettrai pas qu'une personne le tue, car il m'intrigue dans un certain sens. Les personnes normales se seraient déjà enfuie en devinant à peu près ce que je suis, mais pas lui et cela m'intrigue, l'autre personnalité ne m'intrigue pas, je l'ai déjà vu de loin et il n'y a rien d'amusant chez lui, mais le Alex qui est devant moi me donne des envies de m'amuser avec lui, le pousser à boue pour voir ce qu'il fera. J'ai toujours aimé savoir comment quelqu'un réagirait, mais avec lui je n'y arrive pas et cela me donne envie d'y arriver. Je m'avance vers lui, il ne fait rien comme intéressait par ma personne, alors je l'intrigue, cela me fait sourire. Je m'accroupis, je n'attends pas qu'il fasse quelque chose que je lui prends ses armes. Je ne pense pas qu'il m'attaquerait, mais je ne sais pas ce qui se passe dans sa tête, alors je suis prudente. Je pourrais le tuer à main nue si je voulais, mais je n'en ai pas envie au contraire j'aime savoir qu'il est vivant et qu'on peut essayer d'emmerder l'autre. On essaye de savoir qui sera le chat et qui sera la souris. Il sourie, je l'amuse et il m'amuse, un point ou nous sommes d'accord. Je lui chuchote à l'oreille qu'il est à moi cette nuit en l'embrassant après, il ne me repousse pas, il se laisse faire. J'arrête le baiser pourquoi s'amuser avec quelqu'un qui ne réagit même pas ? Je ne serais pas violente avec lui, je n'ai pas envie de le blesser. J'ai seulement envie de me venger pour le faite que je ne sois pas dans mon lit et que de sa faute je suis intriguée. Les autres humains pour moi sont banales et ennuyant, mais pas lui. Je crois qu'il va faire cela, mais il fait tout le contraire donc dans un sens le fait qu'il ne m'a pas repoussé quand je l'ai embrassé est une nouvelle contradiction, il ne pense pas comme les autres. Il sourie et passe sa langue sur ses lèvres comme-ci qu'il voulait une nouvelle fois goûter à mes lèvres. Je me retiens de rire qu'elle idée stupide Nina. Comme-ci qu'il passe sa langue sur ses lèvres pour cela.

«- Encore une fois, tu te trompe... Je ne sous-estime pas les gens et je vois bien que tu n'es pas la petite fille bien sage. C'est pour ça que tu as attisé ma curiosité. Je veux voir ce que tu as derrière la tête. Mais puisque tu ne veux pas le tuer tout de suite, soyons honnête. Tu veux que j'appartienne cette nuit, soit. Mais si tu n'es pas capable de me "tenir en laisse", ne serait-ce que quelque seconde, et crois moi que j'irai le finir lui... Que cela te dérange ou non. »

Je ne me trompe pas, j'avais remarqué qu'il avait remarqué que je ne suis pas la gentille petite fille bien sage si il penserait que je suis comme cela, il n'aurait pas dit que je suis une tueuse de la mafia ce qui est presque vraie, je ne travaille pas pour la mafia dommage pour lui et avec ce que je lui ai dit tantôt il doit croire cela ce qui me fait une couverture si il en parle à quelqu'un comme ça si on cherche un tatouage appartenant à la mafia s'est raté. Je sais très bien me protéger tout ce que j'ai dit est pensée et réfléchie, je ne laisse pas passer des informations pour rien. Je n'ai pas nié d'être à l'école pour quoi faire, il risque de me croiser dans les couloirs, je ne vais donc pas mentir sur cela. Oui je veux qu'il m'appartienne cette nuit, mais il a l'air de préférer les personnes inconscientes, s'est idiot de sa part, moi je suis consciente et je sais faire pleins de choses. Je me mets à rigoler tant pis si il croit que je me moque de lui, mais mes pensées sont trop connes sur ce coup. Je ne ferais rien avec lui, je m'amuse seulement et lui aussi, il a seulement dû me dire cela pour voir comment je vais réagir. Il est toujours appuyé contre le mur, je relâche ma prise sur lui. Si il veut le tuer qu'il le fasse donc.

- Tu es entrain de me dire que je t'intéresse. Cela est amusant. Pour savoir ce que j'ai derrière la tête, il faut me le demander, mais je ne promets pas de te répondre. J'aime être un mystère pas toi ? M'appartenir n'est pas le réel problème, tu veux que je le tue maintenant, tu n'as pas de patience ce qui est dommage, car vu l'état dans lequel il est, il peut attendre qu'on ait fini de nous amuser toi et moi en si tu le tues maintenant, il n'y a plus de raison que je reste en ta compagnie, alors tues le comme cela j'irais retrouver mon lit enfin je veux mon bisous de bonne nuit avant de partir, tu le fais ?

Raaah... J'ai vraiment envie de savoir ce qui se passe dans sa tête. Vraiment, je ne me suis pas trompé. Elle est vraiment intéressante. Elle n'est pas comme tout ces autres personnes. Pour la première fois, je ne ressent pas du dégoût pour un être humain. Non, je suis plus fasciné cette fois. Surpris... Oui, c'est le mot. Elle arrive à me surprendre. Je ne peux cacher ce sourire sur mon visage. Non, je n'ai pas envie de le cacher. Cela se voit dans mes yeux, je brûle de curiosité. Raaah, j'étais vraiment amusé par cette situation. Elle était vraiment quelqu'un d'intéressante, digne de mon intérêt. Elle venait de lâcher un rire à mes paroles. D'abord surpris, j'affichais un grand sourire de psychopathe sur mon visage. Oui, c'est ça, elle continuait de me surprendre. Elle commençait à m'amuser de plus en plus. J'avais ce sourire fou sur mon visage, encore. Je ne pouvais m'empêcher de l'observer. Elle avait prit quelques secondes après avoir prit. Elle était entrain de réfléchir sur mes paroles, cela ne faisait aucun doute. Vraiment, je tiens plus, j'ai envie de savoir ce qui se passe dans sa tête, alors qu'elle relâche son emprise pour moi. Un petit sourire reste sur mon visage. Alors comme ça, elle essaye de me faire comprendre qu'elle n'en a rien à faire si je tue sa cible, après même m'avoir empêcher de le finir tranquillement. Vraiment ?

«- Tu es entrain de me dire que je t'intéresse. Cela est amusant. Pour savoir ce que j'ai derrière la tête, il faut me le demander, mais je ne promets pas de te répondre. J'aime être un mystère pas toi ? M'appartenir n'est pas le réel problème, tu veux que je le tue maintenant, tu n'as pas de patience ce qui est dommage, car vu l'état dans lequel il est, il peut attendre qu'on ait fini de nous amuser toi et moi en si tu le tues maintenant, il n'y a plus de raison que je reste en ta compagnie, alors tues le comme cela j'irais retrouver mon lit enfin je veux mon bisous de bonne nuit avant de partir, tu le fais ?»

Suite à ces mots, je ne pu me retenir. J'éclata de rire. Un rire de psychopathe, un rire de taré... J'avais cette expression de folie, de savant fou qui voulait disséquer un autre humain juste par curiosité. Mais non, je n'avais pas envie de m'en prendre à elle, pas comme ça. Non, je ne vais pas la tuer, elle. En tout cas, pas maintenant. Elle attise ma curiosité, elle m'amuse. Je ne peux retenir mon fou rire. C'est le mot. Je reprend tranquillement mon calme, en la regardant avec ce regard de taré. Non, je retire ce que j'ai dis. Je ne veux plus savoir ce qui se passe dans sa tête. Ce serait d'un ennuie... Je ne serai plus surpris par ces réactions. Non, elle a raison. Je veux qu'elle reste un mystère et qu'elle me surprend. Je reprend lentement mon souffle, me mord les lèvres et la regarde, avec ce regard plein de curiosité.

«- J'avais raison. Tu n'es pas comme tout ces autres, non. Tu attise de plus en plus ma curiosité. Tu es vraiment intéressante. »

Lâchais-je, un peu à moi même. Elle m'avait gâcher ma soirée en m'empêchant de faire une victime de plus, mais voilà qu'elle attire ma curiosité. Finalement, un mal pour un bien. Je ne portais plus vraiment d'intérêt pour Roger. Non, il ne bougera pas de toute façon. J'irai le finir un peu plus tard. Non, je voulais voir ce qu'elle avait d'autre en réserve. Je voulais qu'elle me surprenne. Ouais, c'est ça. Surprise... Surprise...... Surprise !!! C'est ça !! Hahaha, je ne peux m'empêcher de rire moi même, alors que je la regarde amusé. Je me tiens le crâne tellement j'en ai mal de rire. Elle était vraiment géniale, celle-là. Qui est tu, ma petite tueuse ? Tu essaye de t'amuser avec moi ? Tu ne m'en tiendra donc pas rigueur si je m'amuse aussi avec toi, n'est-ce pas ? Je la regarde dans ses yeux, malgré l'obscurité. Je ne cache pas ma fascination. Elle a touché ma curiosité, je l'avoue, et après m'être stoppé de rire, je repris.

«- Continue de me surprendre !! Divertis moi. Et si on continuais de nous amuser, tout les deux ? La soirée est encore longue... Je n'ai pas de patience, mais désormais, le tué ne m'amuse plus vraiment. Je veux que tu continue à me surprendre. Continuons à nous amuser, tout les deux. »

Disais-je avec un regard fou. J'avais l'air effrayant avec ce regard de savant fou, mais c'était pas comme si c'était suffisant pour la mettre hors d'elle. Avant même qu'elle puisse me répondre, je posa ma main sur sa nuque et l'approcha rapidement de moi. Elle voulait un bisou, très bien. Rendons-lui la monnaie de sa pièce. Je déposa alors mes lèvres sur les siennes. Comme pour elle, je n'étais ni doux, ni violent. Je voulais juste continuer ce petit jeu en l'embrassant, pour voir sa réaction. Une petite pensée amusante m'était venu alors. La dernière fois que j'avais embrassé une fille, je lui avais tranché la gorges quelques minutes plus tard, mais je n'allais pas reproduire ça avec elle. Non, elle m'amusait trop.

Il rigole de mes paroles, je sourie. Je ne pense pas qu'il va aller le tuer, ce que je disais est la vérité si il le tue, je n'ai plus de raison de rester et j'ai très bien remarqué qu'il aimait ma présence, donc il ne le fera pas. Il fini par reprendre son calme, moi je passe ma main dans mes cheveux. Je ne sais pas quoi faire, même si il décide de ne pas le tuer, je devrais peut-être partir. Il y a un risque que quelqu'un sait déjà tout ce qui se passe ici et si cela est le cas, il est en danger. Je devrais peut-être lui dire tout cela, je ne sais pas, je n'arrive pas à avoir de pensée rationnelle. Je suis trop concentrée sur ce qu'il va dire et ce qu'il va faire. Je l'ai manipulé pour qu'il se concentre sur moi, mais je ne sais pas si s'est ce que je veux réellement. Il m'intrigue cela est certain, mais quand une personne m'intéresse, j'ai tendance à m'enfuir, oui je vais donc faire ça, m'enfuir et l'éviter pour pas m'attacher à lui. Je dois continuer de penser qu'il est qu'un idiot et un psychopathe en prime, mais je n'y arrive pas ma vision sur lui à bien changer avec les minutes. Je soupire, que vais-je faire voilà là question et je n'ai pas la réponse. Enfin attendons encore, il me donnera sans doute une réponse.

«- J'avais raison. Tu n'es pas comme tout ces autres, non. Tu attise de plus en plus ma curiosité. Tu es vraiment intéressante. »

On dirait qu'il dit cette phrase pour lui même et elle ne me permet pas d'avoir une réponse à ma question. Bon il ne connait pas cette question, mais je voudrais qu'il y réponde. Il essaye de me flatter en disant que je ne suis pas comme tous les autres ? Il ne me connait pas et il me dit que je ne ressemble pas aux autres humains, il ne sait donc pas réellement de quoi il parle. Il me juge avec le peu qu'il connait de moi, il ne sait pas mon prénom ni mon nom de famille, si j'ai de la famille, mmh... enfin une famille que j'ai tué de mes propres mains que des souvenirs tout cela. J'avais que 15 ans à cette époque et j'étais déjà douée, s'est ce qu'il mon dit d'ailleurs s'est pour cela que je suis comme cela aujourd'hui mes parents ne m'auraient pas mentis jamais je n'aurais eu de raison de commencer ce job. Enfin je ne regrette pas, je me suis amusée à les tuer, je n'ai pas eu de compassion, ils m'ont trahis je les ai donc trahis à mon tour en donnant la mort. Je sors de mes pensées quand Alex me parle une nouvelle fois.

«- Continue de me surprendre !! Divertis moi. Et si on continuais de nous amuser, tout les deux ? La soirée est encore longue... Je n'ai pas de patience, mais désormais, le tué ne m'amuse plus vraiment. Je veux que tu continue à me surprendre. Continuons à nous amuser, tout les deux. »

Il veut réellement que je sois son jouet ? Il peut toujours rêver, je ne serais pas sa marionnette, nous serons deux à se divertir, car tout ce qui se passera ici et maintenant, il en a autant envie que moi. Oui la soirée est encore longue malgré que je devrais être dans mon lit à cette heure-ci, je ne regrette pas de l'avoir rencontré. Il m'amuse comme personne ne l'a jamais fait avant. Avec lui je ne veux pas lui faire de mal, mais le découvrir, cela n'est pas une très bonne idée. Je dois m'enfuir, j'allais me relever quand il m'embrasse toutes mes pensées partent tout ce à quoi je pense s'est ses lèvres contre les miennes. Je sais très bien qu'il fait cela pour s'amuser et se venger de tantôt, mais je ne vais pas le laisser prendre les commandes. Je réponds aux baisers, je lui mordille la lèvre pour qu'il ouvre la bouche. Le fera-t-il je ne sais pas en tout cas le baiser fini par s'arrêter aux bouts d'un moment. Maintenant je n'ai plus envie de partir, j'ai autres choses à faire avec lui, mais pas ici, on peut nous surprendre. Oui moi une tueuse à peur de se faire découvrir dans les bras d'un garçon cela est idiot, mais je n'y peux rien, je reste toujours sur mes gardes. Je me relève cela va surement le surprendre de plus je ne lui ai toujours pas répondu, mais cela sera fait après. Je vais chercher mon revolver tant pis, je ne m'amuserai pas avec mes dagues, j'ai une autre occupation en tête. Je tire une balle dans la tête de ma cible, je prends son pou même si je suis certaine qu'il est mort, on ne sait jamais. Quand cela est fini je regarde Alex avec un visage d'enfant qui a son cadeau de noël. Je marche de nouveaux jusqu'à lui. Je m'accroupis une nouvelle fois et je fini par lui répondre.

- Partons d'ici, allons nous amuser ailleurs, sinon je m'en vais et tu devrais faire de même. Il est mort, certaines personnes vont venir, je n'ai pas envie qu'ils nous découvrent si il ne le sache pas déjà. Si cela est le cas, tu es en danger de me faute ... Prenons pas de risque, vient avec moi, s'il te plaît Alex ...

Je n'attends pas qu'il me réponde, je lui fais un baiser furtif et je vais chercher mes armes, je prends les siennes, je lui rend. Et maintenant j'attends de voir si il accepte de me suivre.

Alors que je l'embrassais, je ressentis soudainement une légère morsure sur mes lèvres. Hum, je vois, elle essayait de me forcer à ouvrir la bouche. Elle ne veut pas me laisser prendre les rênes. Tant mieux, c'est bien plus amusant comme ça. Cependant, je n'ouvre pas la bouche comme elle le souhaite. Non, je vais pas donner tout de suite ce qu'elle veut, je préfère attendre. Elle arrêta le baiser finalement, lorsque j'étais sur le point de lui laisser ce qu'elle voulait. Plus de patience ? Je la regardais alors intrigué de savoir ses prochains mouvements, tandis qu'elle se releva. Qu'est-ce qu'elle allait faire, me demandais-je, en la voyant partir prendre son revolver pour tiré une balle dans le crâne de sa cible. Je soupire, légèrement déçu. Ça n'a rien d'amusant, une balle dans la tête. Non, c'est beaucoup plus... fun de tuer au couteau. Cette dernière vérifie d'ailleurs l'état de sa victime. Rien à dire, c'est une pro. Je ne perd pas de temps avec ça, en général. Non, c'est pas du tout amusant, quoi. Je soupire, mais lorsque je la vois se retourné vers moi et afficher son sourire, mon sourire revient. Allez savoir pourquoi. La voilà s'avançant vers moi pour venir s'accroupir face à moi, à nouveau. Je souris, attendant de savoir ce qu'elle avait prévu, ce qu'elle allait dire...

«- Partons d'ici, allons nous amuser ailleurs, sinon je m'en vais et tu devrais faire de même. Il est mort, certaines personnes vont venir, je n'ai pas envie qu'ils nous découvrent si il ne le sache pas déjà. Si cela est le cas, tu es en danger de me faute ... Prenons pas de risque, vient avec moi, s'il te plaît Alex ... »

Quoi ? Elle me sous-estime légèrement. Voilà qu'elle me supplie de le suivre car je suis en "danger". J'ai toujours vécu en "danger" toute ma vie. Enfin, Alex l'a toujours était et j'ai toujours était là pour veiller sur lui. Le danger, c'est la vie. Surtout la vie qu'il a connu. C'est pas ça qui me fait peur, ni même ces tueurs possible. Surtout après qu'elle m'ai rendu mes armes, après un baiser furtif qui m'avait surpris. Je ne savais pas comment réagir. D'autant plus que maintenant que j'ai mes armes, je ne crains pas vraiment ce qui pourrait m'arriver. Je sais bien que face à des tueurs sur-entraîné, sans mes armes, je partais avec un net désavantage, mais lorsque j'ai de quoi tué, c'est une toute autre histoire... Cependant, elle m'attend et j'avoue avoir envie de la suivre. J'ai ce regard pleine de curiosité. Elle avait bien reprit les choses en mains. Je n'avais pas vraiment le choix. Si je ne voulais pas la suivre, elle s'en irai, et je dois avouer que cette idée me plaît pas vraiment. J'ai encore envie de m'amusé avec elle... Je soupire, reprenant.

«- Tu crois vraiment que j'ai peur de ce qui pourrait m'arriver ? Je n'ai pas peur du danger... »

Je soupire suite à ces mots, puis relève mon visage vers elle et me lève, reprenant mon sourire de psychopathe. Je joue avec mes couteaux dans ma main, avant de les ranger dans la poche de ma veste. J'en aurai sûrement plus besoin de les utiliser de la soirée. Enfin, qui sait ? Je m'avance alors vers elle, et regarde la victime au sol, un trou dans le crâne. Je m'empêchais de rire, devant ce corps inerte. J'ai beau ne pas aimé tué quelqu'un avec une arme à feu, car on a pas le temps de savourer le moment, il faut avouer que je n'avais pas de temps à lui accorder après tout.

«- Mais je te l'ai dis. Je veux encore qu'on s'amuse, tout les deux. On a encore le temps durant cette soirée, alors je te suis.... »* Je tire alors la langue, et d'un air psychopathe, ajoute* «- Cette nuit, je suis à toi... et tu es à moi. »

Oui je lui ai demandé pour aller dans un autre endroit, il peut être en danger. Je ne le surestime pas, je sais qu'il peut se défendre et qu'une vie sans prendre des risques sans n'est pas une, mais je ne veux pas me sentir coupable si il lui arrive quelque chose. Tout cela sera plus facile si personne nous découvre si quelqu'un le sait, je devrais feindre qu'il a été qu'une aventure d'un soir. Bien sûr s'est ce qu'il est dans un sens, mais dans un autre si il devient cette aventure du soir, s'est parce qu'il m'intrigue. Si il ne m'intéresserait pas, je serais déjà partie depuis longtemps, je l'aurais laissé là, mais ce n'est pas le cas, il m'intéresse et j'ai envie de m'amuser avec lui voilà pourquoi je lui ai proposé de me suivre dans un autre endroit où on pourra continuer ce que l'on a commencé dans cette usine désinfecté. Je lui ai rendu ses armes, car si il ne me suit pas, il voudra les récupérer et je n'ai pas dû tout envie de me battre contre lui. Je lui laisse le choix, me suivre et on continue de s'amuser ou on rentre chacun de notre côté.

«- Tu crois vraiment que j'ai peur de ce qui pourrait m'arriver ? Je n'ai pas peur du danger... »

Non je pense pas qu'il a peur de ce qu'il pourrait arriver, il sait se défendre, je ne suis pas idiote, mais je n'ai simplement pas envie qu'il doit se battre, mettre sa vie en danger seulement parce qu'il m'a rencontré. Il doit déjà se battre face aux personnes que son autre personnalité ne veut pas faire du mal, alors qu'ils lui en font. Je ne veux pas lui rajouter un combat en plus, car oui les personnes qui peuvent nous surprendre ne sont pas très fort pour moi et lui, mais ils peuvent toujours envoyer des plus forts pour me toucher. Il se lève que va-t-il faire ? Il s'amuse un peu avec ses armes, mais il fini par les ranger pour s'avancer vers moi.

«- Mais je te l'ai dis. Je veux encore qu'on s'amuse, tout les deux. On a encore le temps durant cette soirée, alors je te suis.... Cette nuit, je suis à toi... et tu es à moi. »

Je sourie quand il me dit qu'il me suit, je suis contente, je vais pouvoir continuer de m'amuser avec lui. J'avance donc vers un nouveau lieu, lequel ? Je verrai où mes pas me conduisent. Le fait qu'il me dit qu'il est à moi et que suis à lui me fait rire, car oui cela est que pour cette nuit. Et je me demande si il s'est déjà donné à quelqu'un qui ne connaissait pas. Je réfléchis trop, il faut que j'arrête sinon je ne pourrai pas m'amuser. Je sors mon téléphone pour envoyer un message au nettoyeur si ils ne sont pas déjà en route, normalement ils ont de l'avance. Quand le message est envoyé, je prends la main à Alex, pourquoi ? Cela sera plus facile pour qu'il me suive vu que je vais me mettre à courir, mais d'abord, je vais lui répondre.

- Je sais que tu n'as pas peur de ce qu'il peut t'arriver, mais tu ne connais rien de ce monde ... Cela est difficile de se battre contre quelque chose qu'on ne connait pas ... Sinon oui si tu veux, je serais tienne rien que pour cette nuit ... Maintenant amusons nous ...

Je me mets à courir tout en le tirant pour qu'il me suit. Je le conduis dans une autre usine, mais celle-ci est plus amusante va t-on dire. Personne viendra nous chercher là dedans, on pourra donc s'amuser. Une fois arrivait, je n'attends pas, je le pousse contre le mur et je m'empare encore une fois de ses lèvres, mais cette fois-ci, je me fais plus sauvage, je lui mordille la lèvre inférieur plusieurs fois d'affiler, je veux vraiment qu'il me donne l'autorisation d'un baiser plus intense.

Mes dernières paroles l'avait fait sourire... rire même. Elle semble étrangement heureuse. Drôle de l'être en étant en compagnie d'un psychopathe en pleine nuit. Enfin, on était tout les deux pas tout à fait des gens "normaux". J'entend par là, les mr. tout-le-monde, hypocrite, qui suivent les règles et ont plusieurs masques. Enfin, d'un certain sens, j'en portais aussi un, de masque. Mon autre personnalité. Mais au moins, moi, j'assumais ce que j'étais. Je ne porte pas de masque pour me faire accepter et faire semblant d'être aimé... Moi, c'est diffèrent, m'enfin bref, pourquoi je pense à ça. Je suis toujours cette dernière. Cette fille mystérieuse dont je ne connaissais même pas le nom. J'observais ses mouvements, j'étais plutôt fasciné par cette personne. En règle général, je ressentais un profond dégoût pour les humains en règle général, mais pour une fois, ce n'était pas de la pitié que j'éprouvais envers un semblable. Elle était fascinante. Plusieurs question me venait à l'esprit envers elle. Elle attise ma curiosité. Je veux juste en savoir plus sur elle. La voilà envoyant un message sur son téléphone. A son boss peut-être ? Cependant, elle rangea vite son portable et me surpris en me prenant la main... C'est... Je ne sais pas, je déteste ça. Je n'ai jamais aimé tenir la main à quelqu'un d'autre. C'est quelque chose que je ne supporte pas. Peut-être car je n'aime pas les êtres humains, après tout... Allez calme toi. Je soupire intérieurement, en gardant alors mon calme. Curieusement, je ne le prend pas aussi mal que je le pensais. Peut-être justement car je n'éprouve pas de dégoûts à son égard... En tout cas, elle en profite pour reprendre la parole.

«- Je sais que tu n'as pas peur de ce qu'il peut t'arriver, mais tu ne connais rien de ce monde ... Cela est difficile de se battre contre quelque chose qu'on ne connait pas ... Sinon oui si tu veux, je serais tienne rien que pour cette nuit ... Maintenant amusons nous ... »

Difficile de se battre contre quelque chose qu'on ne connait pas ? Sûrement, mais cela est valable dans les deux sens. Après tout, si j'ai une tel série de meurtre, c'est bien car on ne me connait pas et qu'on a toujours pas compris de quoi j'étais capable. Je ne connaissais rien de ce monde ? Ouais, c'est vrai... Cela me donne juste envie d'en savoir encore plus... Je commence à être de plus en plus curieux, de plus en plus intéressé. Cette fille est fascinante, réellement, et son monde doit l'être tout autant... Cependant, elle me coupe dans mes pensées en me tirant, m'obligeant à courir derrière elle. Je la suis alors. Ses derniers mot m'avait fait sourire, même si je soupirais. Elle prenait à nouveau les commandes, comme si elle était la seul à pouvoir s'amuser. Voilà qu'on arriva dans une autre usine, et sans me laisser le temps de comprendre, je me fis pousser contre un mur. Elle me laissait pas le temps de réagir, m'embrassant à nouveau. Elle se faisait plus sauvage et commençait à me mordre les lèvres, comme pour me forcer à ouvrir la bouche. Elle ne pouvait pas abandonner et acceptait pas que je ne lui avais pas donner ce qu'elle souhaitait plus tôt. Cela me donna envie de rire, mais à mon tour, je m'y met. Comme elle l'avait souhaité, j'ai ouvert ma bouche, lui donnant l'autorisation pour son baiser, mais je n'allais pas la laisser s'en tirait comme ça. Ma main vint se placer derrière sa nuque et je la tirait un peu plus contre moi, la tenant fermement. J'acceptais de céder face à elle pour le baiser, mais à mon tour, je la forçais à suivre le rythme que j'imposais. C'était comme ça notre petit jeu. C'était comme une partie d'échec, sauf qu'on était tout deux plutôt offensive. A chaque fois, quelqu'un forcé l'autre à suivre son rythme, prenant la position de dominant, avant de se faire dominer à son tour. C'était aussi une occasion pour essayer des choses qui ne m'intéressait pas réellement, d'habitude. Ma langue vint à la rencontre de la sienne, tandis que je l'embrassait de façon plus intense et sauvage. Je fini par briser le baiser, pour reprendre mon souffle, lâchant mon emprise sur elle. C'était une sensation bizarre, et je surveillais ses gestes, pour voir ce qu'elle allait tenter à son tour....

A peine arriver dans l'autre usine que je le plaque contre le mur. Je le bloque avec mon corps, je n'ai jamais été aussi proche de quelqu'un sans vouloir ne pas le blesser. Je l'embrasse plutôt sauvagement, je lui mords les lèvres, je n'ai pas aimé que tantôt il me résiste, je vais le faire céder cette fois. Il ouvre les lèvres, ma langue passe à l'intérieur de sa bouche. Je m'amuse à la faire tourner autour de la sienne. Je suis contente, il m'a laissé cette victoire, mais j'ai crié victoire trop vite, il me colle encore plus à lui pour que je suis son rythme, je me laisse faire de toute façon, je n'ai pas envie de résister. Je me laisse dominer pour le moment, mais je ne m'inquiète pas, je reprendrais les règnes quand il ne s'y attendra pas. Il arrête le baiser, tant mieux je n'avais plus de souffle, lui n'ont plus à mon avis. Je m'amuse beaucoup avec lui, mais je me demande si le faire seulement pour le plaisir avec lui est bien. J'ai déjà couché avec quelqu'un, mais cela pour faire souffrir cette personne, chantage ou seulement pour pouvoir tuer cette personne quand il ne s'y attend pas, enfin avec lui ce n'est pas pareille, j'ai peur de m'attacher pourtant j'en ai envie, qui sera le plus fort ? La raison ou l'envie ? J'approche mes mains de son pantalon. Je lui défait son bouton plus sa braguette pour pouvoir passer ma main à l'intérieur de son boxer.

Spoiler:

Une fois l'appel fini, je soupire, j'avais raison s'est bien un larbin du patron qui m'a donné un rendez-vous dans 10 minutes, je vais devoir partir cela m'énerve, j'étais entrain de m'amuser Alex et eux il gâche tout. Je range mon portable dans ma poche de pantalon. Je suis dégoûtée, mais bon je sais que je n'ai pas le choix si je n'y vais pas, ils vont se poser des questions et je n'ai pas envie que cela remonte jusqu'à Alex. Je me décide donc à partir, mais avant de partir, je dois lui parler.

- Je dois y aller, ne cherche pas à me revoir, on a dit une nuit, rien d'autres

J'attends qu'il me dit, qu'on est d'accord pour que je pars et si il tarde, je m'en irais sans avoir de réponse, le rendez-vous est trop important pour que je le rate. De toute façon tout rendez-vous avec eux est trop important.

Spoiler:

Je soupirais. Elle m'avait fait signe de me taire et répondit alors. Je me tus alors, la laissant répondre à son appel. Il faut croire que c'était fini. Je remontais mes vêtements, me doutant bien qu'elle allait devoir s'éclipser. Je prêtais pas attention à leur dialogue. C'était pas comme si je pouvais comprendre ce qui se tramait, de toute manière. Je me sentais toujours bizarre pour ce qui venait de se passer. Elle était vraiment surprenante, après tout. J'aurai jamais cru que j'aimerai ça un jour... M'enfin, ça aura été amusant, bien que cours. Je la regarde, alors qu'elle soupirait. Elle venait d'éteindre son phone. Je m'étais pas trompé dans mes prédictions, apparemment.

- Je dois y aller, ne cherche pas à me revoir, on a dit une nuit, rien d'autres

Je me sentais un peu bizarre suite à ces mots, amère.. Ouais, c'était ça. C'était un sentiment de déception. Que ce soit déjà fini, qu'on puisse pas s'amuser d'avantage. Dommage, elle me surprenait réellement. Elle était intéressante et unique. C'était la première personne qui ne m'inspiré pas le dégoût. C'était vrai, c'était que pour une nuit, mais ce fut trop cours, même si j'avais acquiescer. Je voulais encore m'amuser avec elle... En découvrir plus. Non, reprend toi. Pas elle. Cette personne, tu ne la tuera pas. Et si tu t'accroche à elle, tu finira par t'en lasser et tu finira par perdre cette intérêt que tu trouvais par elle et la tuer... Non, elle avait réussi à me surprendre, me divertir, m'intéresser... Puis, c'était pas tout... Je lâcha un petit soupire, puis répliqua, sachant que si je la faisais attendre, elle partirait.

«- C'est dommage... Tu me divertissais, tu me surprenais... Tu es fascinante, mais c'était trop cours. Je voulais continuais à m'amuser avec toi, plus longtemps.... Mais c'est vrai, je t'ai dis que je suis tiens que pour cette soirée, et tu m'as dis être mienne que pour cette soirée. Mais bon, c'est préférable pour nous deux. »

Disais-je alors, en la regardant. J'étais entrain de me dire que je risquais de m'attacher à elle, et je suis sûr qu'aucun d'entre nous deux ne voulait ça. Je ne crois pas aux autres personnes. Je suis bien avec mon autre personnalité, on a toujours était seul. On sera toujours seul. L'être humain est comme ça. Je finirai juste par la tuer, si elle ne me tue pas avant. Cependant, je n'allais pas la lâcher sur ces mots. J'attrapa alors soudainement son bras et la tira vers moi. Sans savoir pourquoi, je vins déposer un baiser sur ses lèvres. Pourquoi ? Aucune idée. Ce n'était ni moqueur, ni sauvage... C'était juste une envie qui m'était venu. Je la lâcha bien rapidement, avant de reprendre.

«- Voilà ton bisou de bonne nuit. »

Lâchais-je alors. Elle avait bien dit qu'elle ne partirait pas sans ce bisou de bonne nuit, même si c'était dans un autre contexte. Peut-être une façon, pour moi, de nier avoir eu envie de l'embrasser, puisque je trouvais ça stupide. Sur ce, je me tourna, pour me diriger vers la sortie. Elle serait occupé, et je n'avais rien d'autre à faire, donc plus rien ne me retenais ici. Surtout que ma précédente cible était mort.

» Pourquoi me hantes-tu ? [Rp Alex J.][Fini]
» Une vaste blague [Rp Ichiko][Fini]
» Tu me hantes [Rp Ichiko][Yaoi][Fini]
» Je te les apportes comme promis. [RP Nina][Fini]
» de l'envie d'un bain de sang... [PV: Nina][Fini]