Une vaste blague [Rp Ichiko][Fini]

Cela faisait 40 minutes que je marche avec Ichiko dans mes bras de plus il c'est endormi ce qu'il le rend adorable. Je prends 5 minutes pour ouvrir le portail et la porte de ma demeure. Ce n'est vraiment pas simple d'ouvrir quelque chose quand vos deux bras sont déjà pris à porter quelqu'un. Je soupire, il va surement avoir peur quand il va se réveiller ce n'est pas comme-ci qu'il va se réveiller dans un manoir entièrement inconnu avec son directeur. En ce moment même je me demande pourquoi j'ai une si grande maison pour moi tout seul et que ma chambre soit au deuxième étage tout au fond de longs couloirs. Je continue de le porter jusqu'à ma chambre pendant un moment j'avais pensé le mettre dans une chambre d'amis, mais je ne voulais pas avoir une crise le lendemain matin en l'entendant crier dans les couloirs. Ma chambre est simple, bon simple pour moi veut dire un énorme écran plan, des consoles, un lit qui se lève avec une télécommande quand vous ne dormez pas. Plus des meubles plus diverses les un des autres qui puent le luxe, je devrai peut-être revoir la décoration de ma chambre un jour enfin pour le moment ce n'est pas important. Je pose ma charge sur mon lit. Je suis heureux d'un coup de ne plus le porter, je commençais à avoir mal au dos, il n'est pas tout léger. Je vais chercher deux pyjamas pour chacun d'autres nous même si je vais devoir lui enfiler le sien. Je le soulève pour lui retirer son t-shirt quand ceci est fait je lui mets le haut que j'ai choisi pour lui. Je le repose sur le lit et cette fois-ci je lève son postérieur pour faire descendre son pantalon. Il me donne des envies tout d'un coup, mais il n'est pas sobre cela serrait profité de la situation que me le faire. Je lui mets le pantalon et je me retire dans la salle de bain qui donne à ma chambre. Je prends une douche froide pour calmer mes ardeurs quand j'y arrive, je mets mon pyjama et direction le lit avec mademoiselle la belle au bois dormant.

Je me réveille dans une chambre qui m’était inconnue. J’ai mal à la tête, sans doute dû à tout l’alcool que j’ai bu hier. D’ailleurs que s’est-il passé hier ? Je me souviens avoir été dans ce bar, avoir bu bière sur bière, whisky sur whisky… Puis il était venu. Il égal l’homme avec qui j’ai couché deux fois, qui est également le directeur de mon lycée et qui est aussi l’homme dont je suis amoureux. Après…. Je pense m’être endormi.

Je m’assieds dans le lit et regarde à côté de moi. Alf est en train de dormir. Je n’ai pas mal aux hanches ou quoi que ce soit, donc je suppose qu’on ne l’a pas fait. Je me sens mal tout d’un coup. S’il dit ne pas m’aimer, pourquoi est-ce qu’il ne m’a pas laissé dans ce bar ? Il aurait aussi pu me ramener au dortoir. Alors pourquoi est-ce qu’il m’a ramené chez lui ? Je n’en sais foutrement rien.

Je me lève et explore un peu la pièce. Sa chambre est grande. Mais grande, genre énorme. Il y a une télé au moins aussi grande que moi, des consoles partout, son lit aussi est spacieux – et je ne veux pas savoir qu’est-ce qu’il a fait dedans ni avec qui – bref, la chambre d’un bourgeois. Je contourne le lit pour venir me planter face à lui. Je le regarde dormir quelques instants avant de m’agenouiller pour avoir mon visage près du sien. Et lentement, je laisse mes lèvres toucher les siennes. Je fais ça rapidement, de peur qu’il se réveille et ne commence à me dire qu’il ne me veut que pour le cul, blablabla…

Je vais dans la salle de bain communiquant avec sa chambre. Elle aussi est luxueuse, mais là je n’ai pas vraiment envie de m’attarder sur tous les détails. J’ouvre le robinet, laisse couler l’eau, m’asperge le visage du liquide glacé qui en sort et je me regarde dans le miroir. Je suis pathétique. J’ai des cernes énormes et presque noirs sous mes yeux. Mes cheveux sont en batailles, ma peau a l’air fatiguée, bref, je ne suis absolument pas en forme.

Je ferme le robinet et m’assieds sur le sol, m’appuyant contre la baignoire. Je me rappelle que nous sommes samedi, et que donc nous ne devrions pas aller à l’école ensemble. Ça attirerait les soupçons. Je ferme les yeux, et j’ai un soubresaut. Puis, sans vraiment que je ne le veuille, des larmes commencent à couler. Et bientôt, toute la salle de bain est emplie du son de mes sanglots.

Je dors si bien, je sens un corps chaud contre le mien et cela est agréable ça fait tellement longtemps que je dors seul que de la compagnie dans ce lit me donne chaud au cœur. Je grogne que je sens que je perds ma source de chaleur, je tire sur les couvertures pour les mettre sur moi. J'ai un peu froid, alors je me couvre comme je peux, mais cela ne me suffit pas. J'ai envie de ravoir la chaleur d'un autre corps contre le mien. Je ne dors jamais avec mes conquêtes, je n'aime pas les faire espérer pour rien, alors que pour moi c'est un coup d'un soir et basta. De toute façon la vie en couple ne m'intéresse pas et personne mérite de vivre avec moi à part lui qui était dans mon lit, mais qui c'est sauvé pour une raison obscure.

Je m'assoie sur mon lit et je regarde au tour de moi. Où il peut bien être ? Tout d'abord ma chambre est vide, il n'est donc pas ici, mais je suis certain que quand il c'est réveillé, il a regardé la décoration de ma chambre. Je l'aime bien, mais bon parfois je préfère rester dans le sobre et si je veux un jour une relation avec quelqu'un, je ne dois pas être le genre de personnes qui se la pètent, car ils ont beaucoup de frics. Je dois rester moi-même, mais suis-je une personne gentille ? Je ne le pense pas, mais je ne suis pas un monstre non plus, si ? Bon bref de toute façon je devrai demander à quelqu'un, car mon moi intérieur ne va pas m'aider à trouver la réponse à cette question.

Je regarde vers la salle de bain, je n'entends pas de bruit d'eau, mais je suis certain qu'il est à l'intérieur. Je m'approche à pas de loup vers la porte pour voir si je n'entends pas de bruit à travers. Des sanglots se fait entendre. Je soupire et pousse la porte. Je le vois près de la baignoire, je m'approche de lui et je me mets à genoux.

- Pourquoi pleures-tu ? Tu sais si c'est pour ce que tu m'as dit hier, tu n'as pas à t'inquiéter, je sais très bien que c'était une blague

Il s’est réveillé, je l’ai entendu. Putain, il ne manquait plus que ça. Je ferme les yeux mais je ne peux pas arrêter mes sanglots, de toute façon il doit déjà les avoir remarqués.

- Pourquoi pleures-tu ? Tu sais si c'est pour ce que tu m'as dit hier, tu n'as pas à t'inquiéter, je sais très bien que c'était une blague.

Il est à côté de moi. J’essuie autant que je peux mes larmes et me tourne vers lui. Qu’est-ce que j’ai bien pu lui raconter hier ? J’essaye de m’en rappeler, en vain. Non, je ne vois franchement pas ce que j’ai pu lui dire hier soir.

- …..Qu’est-ce que je t’ai dit hier ?

Je masse ma tempe, je recommence à avoir mal à la tête. Et en plus il me regarde. Je suis toujours au mauvais endroit au mauvais moment ces temps-ci.

- Pourquoi pleures-tu ? Tu sais si c'est pour ce que tu m'as dit hier, tu n'as pas à t'inquiéter, je sais très bien que c'était une blague.

Le voir dans cet état me fend le cœur, j'ai envie de le prendre dans mes bras et de le réconforter, mais je ne le fais pas. Je sais très bien qu'il va refuser mon aide, c'est un homme, il a donc une fierté masculine à garder sauve. Il essuie ses larmes, j'attends qu'il prend la parole, j'espère que mes paroles lui ont fait du bien, mais la question qui me pose me chamboule plus que tout. La question en question est celle-ci :

- …..Qu’est-ce que je t’ai dit hier ?

Il ne se souvient même pas de m'avoir dit qu'il a des sentiments pour moi ? Alors pourquoi il pleure si ce n'est pas pour les conneries qu'il m'a dit hier ? Bon je réfléchirai à tout ceci plus tard. Là je le vois se tenir sa tête comme quoi qu'il a mal à celle ci à cause de son trop pleins d'alcool d'hier. Je me lève et je vais chercher une aspine plus un verre d'eau, je lui tends en lui disant.

- Prends ceci cela va te soulager. Après hier tu m'as dit que tu étais amoureux de moi... Enfin nous savons tous les deux que tu blaguer sur ce sujet. Tu l'as toi même dit la dernière fois, je t'attire seulement

Il part quelques instants et revient avec un verre d’eau et un médicament que j’identifie comme un cachet d’aspirine. Il me les tend et je prends le tout dans mes mains tremblantes.

- Prends ceci cela va te soulager. Après hier tu m'as dit que tu étais amoureux de moi... Enfin nous savons tous les deux que tu blaguer sur ce sujet. Tu l'as toi-même dit la dernière fois, je t'attire seulement.

Je lui ai vraiment dit ça ? Mais merde, je suis vraiment qu’un con fini. Je pose le médicament et le verre par terre, n’ayant aucune intention d’y toucher. Non, je dois plutôt rectifier le tir sur ce que j’ai dit hier. Pour ne pas tout gâcher. Même s’il est fort probable que rien ne se passe jamais entre nous.

- C-Ce n’était pas une blague…

Je regarde le sol, trop gêné. Je sais parfaitement qu’il va me rabrouer, me dire qu’il ne me veut que pour coucher, puis qu’il va m’envoyer à l’internat. Mais je m’en contrefous de tout ça, je veux au moins le lui dire.

- Vous ne m’attirez pas seulement. Ça a bien sûr commencé par là mais… c’est plus.

Je me mords la lèvre et ferme les yeux, tandis que deux larmes qui n’ont rien à foutre là réapparaissent et roulent sur mes joues déjà bien humides.

- Je vous aime monsieur.

- Prends ceci cela va te soulager. Après hier tu m'as dit que tu étais amoureux de moi... Enfin nous savons tous les deux que tu blaguer sur ce sujet. Tu l'as toi-même dit la dernière fois, je t'attire seulement.

Je ne voulais pas croire que ce qu'il m'a dit hier soit vraie donc pour moi c'est une blague, mais peut-être qu'il va me dire quand fait c'est vraie. Je soupire, je ne veux pas qu'il me dit que ce n'est pas une blague, je ne serais pas comment réagir à cela. Il pose le verre d'eau et le médicament par terre, je lui fille un regard noir, il va le prendre ou bien je lui donnerai de force.

- C-Ce n’était pas une blague…

Il regarde le sol. J'ai envie de lui crier de me regarder, il ne peut pas me dire cela et ne même pas assumer ses paroles. Je prends son menton de ma main et je relève sa tête, je veux qu'il finit tout ses phrases en me regardant.

- Vous ne m’attirez pas seulement. Ça a bien sûr commencé par là mais… c’est plus.

Alors son attirance c'est transformé en amour, ok, je comprends maintenant pourquoi il a bu hier soir et la raison de ses larmes d'aujourd'hui. D'ailleurs en parlant de larmes, il a fermé les yeux et certaines coulent. Je les essuie avec ma manche. Je n'aime pas le voir comme cela, j'ai l'impression que mon cœur se fissure à le voir si faible devant moi.

- Je vous aime monsieur.

Je le prends dans mes bras, je ne peux pas m'en empêcher, sa détresse est trop forte pour pas que je craque. Je l'embrasse d'abord sur le front. Je ne sais pas comment il va réagir à ceci, il va peut-être me repousser et pour pas qu'il le fait je lui dis ça.

- Tu sais très bien que je t'ai dit ne pas te vouloir d'en ma vie, mais je crois que je t'ai menti sur ce coup là. Je ne suis pas amoureux de toi, mais cela ne va pas tarder, je ne veux pas que tu quittes ma vie... Je te veux avec moi pour toujours... Alors Ichiko quand tu auras tes 18 ans, je te demanderai surement au mariage, donc prépare toi à vivre ta vie dans mes bras...

- Je vous aime monsieur.

Voilà c’est dit. Maintenant il n’a plus qu’à me ressortir le baratin de la dernière fois. Il va me dire que tout ce qu’il ressent pour moi n’est que de l’attirance sexuelle. Je l’ai senti essuyé mes larmes, certes, mais ça ne veut pas pour autant dire qu’il va accepter mes sentiments pour lui. Je le sens me prendre dans les bras, et je me surprends à aimer ça. En même temps, qui n’aimerait pas que la personne qu’il aime le serre dans ses bras ? J’aimerais qu’on reste simplement comme ça, qu’il ne me dise rien qui pourrait me rendre triste.  Ses lèvres se posent sur mon front et y dépose un baiser, et là je ne comprends plus rien.  N’est-il pas supposé ne ressentir que des sentiments purement sexuels ?

- Tu sais très bien que je t'ai dit ne pas te vouloir d'en ma vie, mais je crois que je t'ai menti sur ce coup là. Je ne suis pas amoureux de toi, mais cela ne va pas tarder, je ne veux pas que tu quittes ma vie... Je te veux avec moi pour toujours... Alors Ichiko quand tu auras tes 18 ans, je te demanderai surement au mariage, donc prépare toi à vivre ta vie dans mes bras...

Ce que j’entends me sidère. Il accepte mes sentiments pour lui. Il me dit qu’il pourrait tomber amoureux de moi. Il me dit qu’il voudra m’épouser quand j’en aurais l’âge. Il me dit qu’il me veut. Et tous ces mots suffisent à me rendre heureux. Je me détache quelque peu de son étreinte pour le regarder dans les yeux, en me retenant de ne pas pleurer. Je lui souris du mieux que je peux, et je murmure.

- Tant que vous voudrez de moi… alors je resterais avec vous.

Et je pose avec délicatesse mes lèvres sur les siennes. C’est notre premier ‘’vrai’’ baiser, et je sais qu’il y en aura plein d’autre qui suivront. Et je les attends avec impatience.

- Tu sais très bien que je t'ai dit ne pas te vouloir d'en ma vie, mais je crois que je t'ai menti sur ce coup là. Je ne suis pas amoureux de toi, mais cela ne va pas tarder, je ne veux pas que tu quittes ma vie... Je te veux avec moi pour toujours... Alors Ichiko quand tu auras tes 18 ans, je te demanderai surement au mariage, donc prépare toi à vivre ta vie dans mes bras...

Je ne pouvais pas lui dire je t'aime pour qu'il reste à mes côtés cela aurait été lui mentir, mais tout ce qui est dit dans cette phase est la pure vérité, alors pourquoi je m'en suis pas rendu compte avant ? Je devais avoir trop peur. Déjà il a le fait que je suis son directeur et lui mon élève après il a aussi le fait qu'il m'avait dit être attiré seulement par moi, donc j'ai dû aussi me convaincre que je le voulais que pour baiser quand il m'a sortie ses mots. Il se détache de mon étreinte, je me demande si j'ai dit quelque chose de mal. Je me sens rassurée quand il me regarde dans les yeux et me sourie. Je sourie à mon tour, car cela c'est arrangé, on va vivre un parfait petit amour jusqu'à la mort. Je compte bien faire ma vie avec lui, j'espère qu'il ne se lassera pas de moi.

- Tant que vous voudrez de moi… alors je resterais avec vous.

Je n'ai pas le temps de bien faire attention à sa phrase qu'il pose ses lèvres contre les miennes, j'ai simplement fait attention au "je resterais avec vous". Mes lèvres touchent les siennes, je laisse ma langue les toucher. Je ne veux pas que le baiser va plus loin qu'un smack, c'est notre premier véritable baiser, alors je fais que goûter la texture de ses lèvres. Quand nous n'avons plus d'air, nous arrêtons le baiser. Je lui sourire par contre je viens de me souvenir du verre et du cachet qu'il n'a pas prit, alors je secoue ma tête pour ne pas lui faire avaler de force.

- Par contre je te préviens, tu resteras le mioche pour moi. Ah et mon mioche tu vas prendre ce cachet, te mettre dans le lit et te reposer sauf si tu veux que je te fais faire tout ceci de force. Ah et avant que j'oublie, tu peux arrêter de me vouvoyer, on est ensemble, non ?

Le baiser s’arrête au bout de quelques instants. J’en profite pour respirer, tandis qu’il se tourne vers le verre et le cachet d’aspirine. Il secoue la tête comme pour se dissuader de quelque chose, puis il se tourne vers moi.

- Par contre je te préviens, tu resteras le mioche pour moi. Ah et mon mioche tu vas prendre ce cachet, te mettre dans le lit et te reposer sauf si tu veux que je te fais faire tout ceci de force. Ah et avant que j'oublie, tu peux arrêter de me vouvoyer, on est ensemble, non ?

Je lui souris, avant de prendre le verre, et d’avaler le cachet ainsi que l’eau. Puis je le regarde à nouveau. Le tutoyer ne sera pas facile. Je pourrais bien me tromper au lycée, quoique ce ne soit pas si grave que ça. On considérerait que j’étais le rebelle qui se permettait de tutoyer tout le monde, et voilà. Mais bon, pour l’instant… je devais me reposer. Je déposais un autre baiser, cette fois sur sa joue, avant de me lever et d’aller me coucher sous la couette. Une chose était sûre, j’allais mieux dormir qu’avant.

- Vous…pardon, tu peux venir près de moi ?

Je le regardais en souriant. Dormir ensemble, c’était ce que faisait les couples. Et nous en étions un désormais, non ?

- Par contre je te préviens, tu resteras le mioche pour moi. Ah et mon mioche tu vas prendre ce cachet, te mettre dans le lit et te reposer sauf si tu veux que je te fais faire tout ceci de force. Ah et avant que j'oublie, tu peux arrêter de me vouvoyer, on est ensemble, non ?

Je suis loin d'être la personne la plus romantique sur la terre, alors j'espère que si je garde le surnom le mioche, il ne va pas m'en vouloir et il faut bien que je n'oublie pas qu'il n'a pas encore 18 ans donc qu'on ne peut pas crier sur tous les toits notre relation qui est devenu de amant d'un soir à en couple. Enfin c'est ce qu'on n'est pour moi lui je ne sais pas comment il me voit. Il me sourie et prend le verre. Il met le cachet dans sa bouche et boit pour avaler l'aspirine. Je sourie, bon c'est bien il m'obéit. En plus si j'aurais à me battre avec lui, il me mettrait ma racler. Il m'embrasse sur la joue et je rougis. Savoir que je suis avec et recevoir des bisous ne me font plus du tout le même effet, bon cela me donne toujours des envies, mais ça me met sur un nuage comme-ci que je suis la personne la plus importante de la terre.

]- Vous…pardon, tu peux venir près de moi ?

Je rigole. Il est trop mignon. Bien sur que je peux venir me reposer avec lui. Je ne m'aurais pas gêné. C'est quand même mon lit cela ferait bizarre si je n'accepte pas de dormir dedans et j'ai envie d'être à ses cotés, je lui ai avoué plus tôt. Je me lève et le rejoins. Je le porte jusqu'au lit. Je l'allonge et je m'allonge à côté de lui. Quelques minutes après tous les deux, on dormait.