Tout commence par un début [Rp Ichiko][Yaoi][Fini]

Aujourd'hui c'est mon premier jour de travail en tant que directeur du lycée Maria. Je ne sais pas trop ce qu'il faut faire. La dernière personne qui organisait ce lycée était mon père, mais il ne m'a jamais dit comment faire, donc maintenant il faut que je trouve comment faire par moi-même. Je suis dans la merde enfin je vais commencer par regarder les papiers pour voir ce que j'ai à faire. Je soupire, j'en ai déjà marre, alors que cela ne fait même pas une journée entière que je suis là. De plus avec la mort de mes parents, je n'ai pas eu de temps pour moi ce qui fait que cela fait un moment que je n'ai pas eu de relation sexuelle, alors que je n'arrive pratiquement pas à me passer de sexe. Je suis donc stressé et frustré, mais le pire de tout cela c'est que je suis dans un lycée et que je ne vais pas pouvoir draguer, car on pourra porter plainte contre moi. Je suis maudit quand on regarde bien, j'ai envie de partir en courant de ce bureau en plus j'ai appris que la fondatrice de ce lycée hante encore les lieux cela me donne un peu la frousse, mais bon je ne peux pas partir, je suis un jeune homme courageux ou pas.

Donc les papiers, il en a tellement que je ne sais pas par où commencer. J'ai pris un dossier d'un élève Ichiko Nagayama. Je commence à le lire. Ce jeune homme a une chambre dans l'internat pour le moment il est seul, mais cela n'est pas le plus important de ce que je viens de lire, il a 17 ans et il c'est sauvé de ses parents pour une raison inconnue, je voudrai bien savoir pourquoi, mais cela ne me concerne pas. Par contre il y a un fait que je n'aime pas c'est qu'il sèche les cours, alors que cela ne fait pas longtemps qu'il est ici. Je crois ben que je vais le convoquer pour mettre les choses au clair avec lui. Je ne veux pas avoir d'élèves qui sèchent les cours, alors que leur avenir est en jeu.

Je prends le microphone des couloirs pour passer une annonce, je sais qu'aujourd'hui il est en classe, je n'ai pas vu son nom sur la feuille des élèves absents. Je vais pouvoir lui passer un savon comme cela il ne séchera plus et je serai tranquille avec cela. "C'est votre nouveau directeur qui vous parle. Monsieur Nagayama est convoqué dans mon bureau de suite, il est donc prié de venir me voir de suite."

Je m'assoie dans le fond de ma chaise et j'attends que Ichiko vient me rejoindre ici. Je réfléchis à ce que je vais pouvoir lui dire. Bon j'aviserai le moment venu. En attendant je prends un nouveau dossier et je commence à le lire même si je sais qu'il ne va pas tarder à arriver.

Depuis que j’étais arrivé à Maria, je séchais au moins une heure ou deux chaque jour. Jusqu’à présent, personne ne s’en était vraiment plaint. Aujourd’hui, je suis dans ma salle de classe, on a maths et ça me fait déjà chier. Je me balance doucement sur ma chaise, en rêvant de l’après-midi où je pourrais me balader en ville librement. Mais quelque chose avait décidé de contrecarrer mes plans.

"C'est votre nouveau directeur qui vous parle. Monsieur Nagayama est convoqué dans mon bureau de suite, il est donc prié de venir me voir de suite."

Je mis quelques secondes à réaliser que la voix venait de l’interphone, et ensuite quelques autres secondes à réaliser qu’on parlait à de moi. Des visages moqueurs se tournent vers moi et je me lève et quitte la classe pour rejoindre le bureau – d’ailleurs je ne sais même pas où il se trouve. Je parie que toute l’école l’a entendu ce message. Putain. Fais chier. À la pause de midi, je suis sûre qu’un milliard de personnes viendront me demander : « Pourquoi t’as été convoqué ? » et ce genre de conneries là.

Je finis par trouver le bureau du directeur. Apparemment il s’appelle Alf Curtis, ou je ne sais pas quoi. Il est jeune, ça facilitera peut-être le dialogue, qui sait ? Je ne prends même pas la peine de frapper à la porte et entre, venant m’assoir sur la chaise en face de lui. Je le regarde, un petit sourire accroché aux lèvres.

- Bonjour monsieur.

J'attends la porte s'ouvrir bon alors cet élève ne fait pas que sécher les cours, il est aussi mal élevé, j'ai déjà envie de faire un meurtre. On ne lui a pas appris qu'il faut taper à la porte avant de rentrer ? Je déteste les rebelles, j'ai envie de prendre leur tête et de la mettre dans un mur. Enfin il faut que je me calme, je n'ai pas le droit de taper un élève si je ne veux pas finir en prison. Je soupire ma journée était déjà mauvaise, mais ce môme va me la rendre encore pire je le sens gros comme une patate. Bon allez voyons le bon côté, j'ai le droit de la manipuler tant que je le touche pas. Je lève ma tête et je laisse un sourire s'esquisser sur mes lèvres. Il ne me connait pas encore, mais ce n'est pas compliqué à deviner que cela n'est pas bon pour lui.

- Boujour monsieur

Bon il me salut c'est déjà un bon début par contre Son sourire, il va vite le retirer de son visage le petit. Je suis peut-être jeune, mais il ne faut pas qu'on commence à croire que cela va être un tâche facile pour s'en tirer à si bon compte. Je reprends son dossier en main et je le pose sur mon bureau.

- Bonjour monsieur Nagayama. Bon premièrement vous allez ressortir de ce bureau et vous allez frapper à la porte si vous ne le faites pas dans les règles, vous aurez une heure de colle pour irrespect d'un adulte.

Je ne pense pas qu'il va le faire, mais bon je tente quand même on cas où. Je risque d'avoir dû mal avec cet élève. Je crois que je n'ai pas choisi le cas le plus simple pour commencer, mais bon au moins si j'arrive à régler le problème avec celui-ci j'y arriverai surement avec les autres. De toute façon je me doutais que personne allait me prendre au sérieux directement, je vais devoir prouver qu'on ne peut pas marcher sur mes plates bandes sans avoir des conséquences graves.

- Bonjour monsieur Nagayama. Bon premièrement vous allez ressortir de ce bureau et vous allez frapper à la porte si vous ne le faites pas dans les règles, vous aurez une heure de colle pour irrespect d'un adulte.


Je souris encore plus. Et puis quoi encore ? S’il croit me faire peur en me menaçant d’une heure de colle, ça ne me fait absolument, mais absolument pas flipper le moins du monde. Ce sera toujours mieux que le pensionnat ou la maison de toute manière. Je m’assieds un peu plus confortablement sur mon siège en lui jetant un regard provocateur.

- Ma compagnie vous déplaît tant que ça monsieur ? C’est bien dommage…

Je souris avant de regarder mon dossier sur son bureau. Mon sourire disparaît presque instantanément. Je sais que je ne devrais pas regarder dans ce genre de choses mais bon. Ça me concerne alors il n’a rien à dire non ?……non ?

- De tout façon si vous me mettez en heure de colle, c’est vous qui devrez me surveiller…

Je prends mon dossier du bout des doigts sans pour autant l’ouvrir. Il risque de m’engueuler si je le fais, ou pire, de me virer de l’établissement. Et perso, je n’ai pas la moindre envie de retourner chez moi. Le pensionnant et cette école pourrie sont toujours mieux que ma maison et ses habitants qui ne pensent qu’à me rabaisser constamment. Je repose donc rapidement le dossier avant de regarder le directeur dans les yeux.

- Vous voulez toujours me mettre en colle ?

Il ne sort pas de la pièce, j'aurais pu mettre ma main à couper. Bon je vois que la menace ne lui fait rien et en même tant cela ne doit pas être plaisant d'être dans une chambre d'internat et chez lui il ne veut pas y retourner vu qu'il sait enfuie, je pourrai me servir de cela, mais pour le moment je vais essayer de faire cela en douceur et s'il ne veut pas, je devrai le renvoyer ou bien prévenir ses parents de où il se trouve. Il me regarde avec son air provocateur cela ne me fait rien, j'étais habitué avec mon ancienne école d'ailleurs elle me manque. Pourquoi il a fallu que je sois le dernier des Curtis ? Bref ce n'est pas le moment de penser à ceci alors que j'ai un élève des plus chiants dans mon bureau enfin j'aime bien son courage de me tenir tête. Il y a quelque chose en lui que je trouve intéressant, mais je ne dois pas chercher à savoir quoi, je n'ai pas le droit d'avoir des relations intimes avec des élèves ce qui est chiant, car il est pas mal dans son genre, mais de toute façon je ne sais même pas s'il s'intéresse aux hommes ou aux femmes. Je secoue la tête ce n'est pas le moment de penser au sexe, je suis déjà en manque, alors si je commence à me faire des idées, je vais lui sauter dessus et cela serra mal vu.


- Ma compagnie vous déplaît tant que ça monsieur ? C’est bien dommage…

Il sourie, mais il le perd quand il voit son dossier. Il ne doit pas aimer que j'ai ceci en ma possession c'est dommage pour lui. Je sais pratiquement tout de lui, alors qu'il connait pratiquement rien sur moi, j'ai un avantage sur ce côté là, mais je ne veux pas m'en servir avec lui ce qui m'ennuie, car je crois que la façon raisonnable ne marchera pas sur lui. Je crois savoir qu'il va vouloir prendre le dossier, je ne le bouge pas de place, car de toute façon même s'il la entre les mains et qu'il ne l'ouvre pas ce n'est rien par contre si l'ouvre, je devrai prendre des mesures pour le punir et plus d'une heure de colle, car je vois que cela lui fait plaisir que je le menace de cela.

- De tout façon si vous me mettez en heure de colle, c’est vous qui devrez me surveiller…

Oui je devrai le surveiller, mais de toute façon je ne suis pas prêt de rentrer chez moi vu tous les papiers que je dois remplir pour la semaine prochaine, je ne sais même pas pourquoi je perds mon temps avec cet élève au mieux de me mettre au travail, mais de toute façon il faut que je règle son cas avant de finir la paperasse, ma conscience me dit que je ne dois pas arrêter tant que je n'ai pas la promesse qu'il ne va plus sécher les cours. Je soupire, il s'empare de son dossier, je le savais donc je ne dis rien, j'attends de voir s'il va l'ouvrir ou pas.

Il a dû voir que je l'ai vu, car il repose le dossier sur mon bureau. Je sourie bon je n'aurai pas besoin de le sanctionner ce qui est génial dans un sens, car je ne veux pas renvoyer un élève, alors que je viens seulement d'arriver ici.


- Vous voulez toujours me mettre en colle ?

Il est bizarre de me demander si je veux toujours le coller, bon je vais aussi lui poser des questions idiotes, alors.

- Et toi veux-tu aller en heure de colle ?

Je sourie, je sais que ce n'est pas une question qui se pose à un élève, mais je veux voir comment il va réagir à cette demande si soudaine.

- Et toi veux-tu aller en heure de colle ?


Il sourit. Sa question est bizarre. N’importe quel élève normalement constitué et réfléchissant avec son cerveau dirait non. Mais il faut croire que je n’en fais pas partie.

- Pourquoi pas, si c’est en votre compagnie monsieur.

Je réponds à son sourire. Je suis peut-être hétéro, mais il est plutôt pas mal dans son genre. Attention, je ne dis pas que j’ai envie de coucher avec lui ou quoi que ce soit. Je disais juste qu’il était loin d’être repoussant, c’était tout… Et que ça n’était pas plus mal.

Je l’observais pendant une ou deux minutes, avant de détourner le regard en souriant encore. Si je dois passer une heure en colle rien que lui et moi, je me ferais un plaisir immense de l’embêter à ma guise. Je reporte mon attention sur lui et lui demande de ma voix la plus enjôleuse :

- Je suppose que j’ai le droit de vous tenir compagnie après les cours ?

Bon d'accord je sais que ce n'est pas une question qui se pose à un élève, mais je ne sais pas pourquoi lui il n'est pas comme les autres, alors j'ai envie de voir ce qu'il va dire et c'est marrant de s'amuser avec les élèves quand ils ne savent rien de mes tendances à les faire tourner en bourrique. Je sourie, alors va-t-il me dire qu'il ne veut pas venir en heure de colle ? Ou va-t-il me dire qu'il veut ? Je prends un autre dossier et je le lis un peu le temps qu'il réfléchit à ma proposition de rester avec moi pendant une heure. Je sais que je suis bien fait de ma personne, mais il doit être hétéro, alors je ne vois pas pourquoi il accepterai de rester ici surtout que je ne suis pas non plus d'une compagnie très agréable.

- Pourquoi pas, si c'est en votre compagnie monsieur.

Alors il accepte d'être collé, c'est peut-être le premier et dernier élève que je vois accepter une heure de colle de son pleins grès enfin ce n'est pas comme-ci que cela me dérange de le garder, j'ai dû travail pour toute la soirée donc il peut rester avec moi si cela lui fait plaisir d'avoir une retenue dans son dossier. Je prends une feuille et je note "Monsieur Nagayama est en retenue aujourd'hui après les cours". Je sens qu'il me regarde cela ne me dérange pas, j'ai l'habitude qu'on me juge sur ma minceur ou quoi donc qu'il me matte ne me fait rien, je le laisse faire.

- Je suppose que j'ai le droit de vous tenir compagnie après les cours"

Il n'est pas idiot. Je lui tends le papier avec son heure de colle. J'ai un mauvais pressentiment, mais de toute façon il est trop tard pour revenir en arrière. Je continue de lire mon dossier et je m'arrête pour lui dire.

- Vous pouvez retourner en classe, je vous vois ce soir après les cours monsieur Nagayama et oubliez pas que vous devez me dire monsieur le directeur.

Il me tend un papier où il est inscrit que je serais en heure de colle après les cours. Je souris. C’est bien la première heure de colle où je suis content d’aller.

- Vous pouvez retourner en classe, je vous vois ce soir après les cours monsieur Nagayama et oubliez pas que vous devez me dire monsieur le directeur.

Je ris doucement et me relève, le papier dans ma main. Je mime une petite courbette moqueuse avant de sortir de la pièce en lâchant un petit :

- À tout à l’heure M. Le directeur…

Le reste de la journée se passe normalement. Je n’ai même pas séché l’après-midi. Enfin, si ça peut me permettre de rester quelques heures supplémentaires avec ce charmant directeur, je le ferais volontiers. Finalement, mon année ici ne s’annonce pas si mal que ça.

La cloche sonne la fin des cours, et je sors de la salle de classe rapidement. Je traine un peu dans les couloirs, le temps que tous les élèves aient quitté l’établissement, avant de me diriger vers le bureau de ce cher directeur. Je ne prends une nouvelle fois pas la peine de frapper et j’entre, un grand sourire aux lèvres.

- Rebonjour monsieur.

Je m’assieds à nouveau sur la chaise sur laquelle j’avais posé mon cul plus tôt. Je lui lance un sourire taquin, attendant sa réaction. La prochaine heure s’annonce géniale.

Il était sortir et il m'avait salué d'une façon moqueuse, mais je ne m'occupai pas de cela, je commençai à connaitre son caractère. J'avais continué de lire les dossiers de chaque élèves. Certains d'entre eux, on l'air d'être vraiment intelligeant, ils vont pouvoir avoir un bon avenir et d'autres comme Ichiko sont des rebelles enfin pour le moment j'ai convoqué que lui. Je les convoquerai plus tard. D'ailleurs les cours sont finis, il va bientôt arriver, je suis un peu stressé, je ne sais pas comment cela va se passer. Je n'ai jamais fait passer une heure de colle à un élève, alors je ne sais pas trop comment je vais m'y prendre enfin je vais surement lui donner du travail et faire le mien.

Il ouvre la porte encore sans taper, bon je vais devoir m'habituer, je crois qu'il va venir souvent dans mon bureau vu comment c'est partie. Je lui sourie en retour et j'attends qu'il s'assoie sur le fauteuil en face de moi. Je me lève et je vais chercher un dossier que j'ai préparé pour lui, il a tous les cours qu'il a manqué.

- Je pensais que vous ne serez pas venu enfin je vous ai préparé du travail monsieur Ichiko.
Je lui donne le dossier et je me mets sur ma chaise et je commence à remplir mes dossiers.

Il me rend mon sourire, et je commence à croire qu’il m’apprécie un tout petit peu. C’est pas plus mal. À défaut d’être ami avec des gens de ma classe, je pourrais l’avoir comme….. Comme…. Comme une personne avec qui parler quand j’en ai envie ?

Mais il se lève et revient avec un dossier. Oulah. Je le sens mal tout d’un coup.

- Je pensais que vous ne serez pas venu enfin je vous ai préparé du travail monsieur Ichiko.

……Du travail ? Il se fout de ma gueule ou quoi ? Je n’ai pas du tout l’intention de travailler….Bon d’accord, c’est une heure de colle, mais quand même ! J’aurais préféré autre chose que rattraper mon travail en retard. Je prends le dossier et le feuillette, avant de le remettre sur son bureau avec une mine de dégout.

- Je suis obligé de faire ça ?

Bien sûr il va me dire oui. Il peut être sympa par moment, mais ça reste un adulte, le directeur qui plus est. Je ne peux pas être ami avec ce genre de type. Je rejette la tête en arrière et regarde le plafond avec un air profondément ennuyé.

- Vous n’auriez pas quelque chose de plus intéressant ?

Et merde…. Il a fallu que je sorte une phrase à double sens.

Je lui donnais le dossier avec du travail dedans. Quand je regarda sa tête, j'ai eu une envie de rire comme un fou. Il ne veut vraiment pas travailler enfin c'est dommage pour lui, je n'ai rien d'autres à lui faire faire. Je commence à faire mes dossiers quand je sens qu'il pose le dossier sur mon bureau, j'hausse un sourcil bon il ne va pas me rendre la tâche facile cet idiot.

- Je suis obligé de faire ça ?

Quelle question qui me pose bien sur qu'il est obligé de faire cela, mais bon je n'ai pas non plus envie qu'il me casse les bonbons et si je lui dis oui c'est ce qu'il va faire. Je soupire ennuyer, bon je vais devoir faire attention quand je m'occupe des colles.

- Ne fait rien si tu veux.

Comment faire pour ne pas qu'un élève vous dérange lui dire qu'il ne fait rien. Bon je me remets au boulot avant de me faire interrompre par lui et son sous entendu.

- Vous n'auriez pas quelque chose de plus intéressant.

Bon il m'a fait un sous entendu donc je vais lui répondre, mais franchement il risque d'être choqué et c'est de sa faute, je suis en manque, alors qu'il me fait un sous-entendu me donne des idées qui me met en scène avec lui.

- J'ai quelque chose d'intéressant qui est sur moi, mais je ne pense pas que cela t'intéresse.

Bon je me suis laissé tenter tant pis maintenant je vais devoir assumer s'il m'allume. Je me sens con sur ce coup là.

- Ne fait rien si tu veux.

Ah bah il est cool en fait. Je souris et ignore dès à présent le dossier plein de travail chiant et inutile. De toute façon mon avenir est tout tracé. Sans diplôme, sans rien, je ne ferais pas long feu et je squatterais chez des meufs avec qui je coucherais. Assez simple comme style de vie, non ?

- Vous n'auriez pas quelque chose de plus intéressant ?

J’ai posé cette question à tout hasard, pour ne pas me faire chier pendant tout l’heure. Il y a un énorme sous-entendu (non voulu bien sûr) dedans, et j’espère qu’il n’y a pas prêté attention.

- J'ai quelque chose d'intéressant qui est sur moi, mais je ne pense pas que cela t'intéresse.

Il ne semble pas avoir remarqué. Tant mieux. Et il a quelque chose d’intéressant sur lui ? Qu’est-ce que ça peut être ? Il doit parler d’un livre sûrement. Et contrairement à ce qu’il peut croire, j’aime beaucoup lire. Je lui souris avec un air de défi, prêt à voir ce livre.

- Montrez-le moi, je vous jure que ça peut m’intéresser !

Bon d'accord ce qui est intéressant sur moi est mon entre jambe donc je ne pense pas que cela l'intéresse. Donc je suis en quelque sorte sauve. Je pose ma tête contre mon bureau, j'exagère quand même lui avoir dit cela, alors que je suis en manque et si je continue comme cela je risque de lui sauter dessus et il ne le faut pas sinon je vais me faire mettre en prison.
Il me sourit l'air de dire qu'il me met au défi de montrer ce que j'ai d'intéressant sur moi. Je soupire, il n'a pas dû comprendre ce que je lui ai dit et maintenant je suis dans la merde s'il me dit qu'il veut voir ce que j'ai d'intéressant sur moi.

- Montrez-le moi, je vous jure que ça peut m’intéresser !

Je soupire un "Merde". Bon c'est obligé qu'il n'a pas compris ce que j'ai parlé, mais je suis un homme de paroles donc je suis obligé de lui montrer.
Je me lève et je vais jusqu'à lui, je m'assoie complétement sur ses genoux et je commence à lui mordre l'oreille pour finir par lui chuchoter "Je parlais de ce que j'ai entre mes jambes, veux-tu la voir ?

Il soupire « Merde… » Quoi ? Qu’est-ce qu’il y a ? Il ne veut pas me le montrer ? Peut-être que c’est un livre compromettant… Un live érotique ? Je n’irais pas aller le crier sur tous les toits si c’est un livre du genre… Enfin…

Il s’est levé et se dirige vers moi. Je le regarde faire mais soudain ses mouvements deviennent… étranges ? Il s’assied sur moi, ce qui ne manque pas de me faire rougir comme une tomate, et commence à me mordre l’oreille. Qu’est-ce qu’il… Je sens que ça devient dur en bas, et même si j’essaye de me contenir je n’y arrive pas, il fait sûrement ça pour me faire chier. Il va ensuite se foutre de moi et me renvoyer, en disant que c’est moi qui lui ai sauté dessus, merde, merde, merde…

- Je parlais de ce que j'ai entre mes jambes, veux-tu la voir ?

Il a chuchoté. Je ne sais absolument pas ce qu’il m’arrive, ce qu’il nous arrive même. Je ne réfléchis même plus. Je ne pense pas au fait que nous soyons tous les deux des hommes, qu’il soit le directeur et moi son élève, je pense juste au fait qu’il soit assis sur moi et que ça m’excite terriblement..

- O-Oui…

Je dois devenir complétement dingue pour avoir accepté.

Je me lève pour aller jusqu'à lui, je m'installe sur mes genoux. Je le vois rougir et cela me fait plaisir, il n'y a pas que moi que cela surprend ce que je vais faire. Je me suis mis dans une situation de merde, je peux avoir de gros problèmes s'il me dénonce à quelqu'un. Enfin de toute façon il est trop tard, j'en ai envie cela fait trop longtemps que je n'ai rien fait. En espérant pour lui qui m'envoie chier. Je lui taquine l'oreille en la mordant cela a pour effet de lui donner une érection. A cause de son érection, je ne vais pas tarder en avoir une, car mon corps sent son sexe et cela m'excite. Je bande aussi, je ne sais pas trop comment je vais faire maintenant s'il veut vraiment qu'il se passe rien, il a intérêt de me dire non à ce que je vais lui dire.

- Je parlais de ce que j'ai entre mes jambes, veux-tu la voir ?

J'avais chuchoté cette phrase à son oreille, ma voix était rauque à cause de l'excitation. Je voulais qu'il me dit oui, mais en même tant non. S'il me dit oui, je vais coucher avec lui c'est obligé s'il me dit non, alors je vais m'arrêter et on en parlera plus.

- O-Oui..

Il a accepté ? Je n'ai pas rêvé ? Il est malade, il se rend compte qu'il ne va plus pouvoir revenir en arrière ? Je me lève et je commence à retirer ma ceinture. Je soupire, j'ai peur qu'il me prend pour un pervers, mais c'est lui qu'il a voulu cela, il aura qu'à s'en prendre à lui même si tout ça ne lui plait pas. Je fais glisser ma braguette tout doucement. Quand j'ai fini cette tâche, je retire mon pantalon. Mon souffle devient de plus en plus fort, je stresse qu'il me dit "Non, mais arrête, c'est une blague". Je suis en boxer dans mon bureau avec un autre homme, je l'ai déjà fait avec une personne du même sexe que moi, mais je n'avais pas un lien élève/directeur. Je glisse mon sous-vêtement le long de mon corps. Je me retrouve nu devant lui.

- Maintenant que tu vois ce que j'ai d'intéressant sur moi que veux-tu qui se passe ?

J’ai accepté. Et je ne sais absolument pas ce qui va se passer maintenant. Je me contente de le regarder. Il s’est levé et retire sa ceinture, commençant à se déshabiller. Il veut vraiment me tuer. Ses mouvements sont lents, tellement lents que ça me tue de devoir attendre autant de temps. Il défait sa braguette doucement. Et allez savoir pourquoi ça m’excite. Oui. Voir ce mec qui se trouve être mon directeur et que je connais depuis quelques heures me faisant un strip-tease, ça m’excite à mort. Il enlève son pantalon, et à part sa chemise, sa cravate et son boxer, il ne porte plus rien d’autre. Mon souffle se ralentit peu à peu. Puis il enlève son dernier vêtement cachant son intimité. Je rougis presque directement.

- Maintenant que tu vois ce que j'ai d'intéressant sur moi que veux-tu qui se passe ?

Je réfléchis. D’abord j’ai une érection douloureuse emprisonnée dans mon jeans. Ensuite j’ai chaud. Et finalement j’ai envie de voir jusqu’où nous pourrions aller.

Je me lève et me dirige presque trop rapidement vers lui. Nous nous retrouvons face à face. Il est un peu plus petit que moi, mais ça ne fait rien. Je lui souris en essayant de garder un air provoquant, bien que je sois tout rouge.

- Je veux qu’on y aille plus loin…

Et sur ces mots je pose ma main droite sur son entrejambe.

Je faisais un strip-tease à un élève, je ne suis plus dû tout dans mon état normal cela n'aurait jamais dû se passer comme ça. Il devait venir ici pour rattraper ses cours qu'il avait manqué, mais un sous-entendu qu'il m'a dit sans le faire exprès m'a excité plus que tout et maintenant je me retrouve entrain de l'allumer et ce petit con arrogant me regarde avec du désir, mais aussi avec gêne et je trouve cela trop mignon, alors je ne pourrai pas m'empêcher de le tourmenter et c'est ce que je veux en sortant cette stupide phrase.

- Maintenant que tu vois ce que j'ai d'intéressant sur moi que veux-tu qui se passe ?

Je cache quand même mon intimité, je suis quand même gêné de faire cela devant un élève, mais c'est ce qui est excitant, car ce qu'on est sur le point de faire est interdit enfin on va contourner les règles et prendre du plaisir dans mon bureau en espérant que la rumeur comme quoi que l'une de mes ancêtres est devenue un fantôme soit fausse. J'attends qu'il réfléchit à ma phrase, je sais qu'il est excité, je l'ai senti quand j'étais sur lui tantôt, mais peut-être qu'il ne l'a jamais fait avec un homme et qu'il va prendre peur. De toute façon seule sa réponse pourra me dire ce qu'il veut si on oublie les gestes.

Il se lève et vient jusqu'à moi. Je me demande ce qu'il va faire en plus cela me gêne qu'il est plus grand que moi. Je suis censé ne pas me laisser marcher sur mes pieds, mais avec mon physique de jeune fille, je ne peux pas me défendre. Je trouve cela soulant enfin je n'y peux rien. Je vois bien qu'il essaye de garder un air provocateur, mais avec ses rougeurs si ses joues cela ne fonctionne pas vraiment enfin au moins j'ai un beau spectacle devant moi. Il est vraiment magnifique comme jeune homme.

- Je veux qu’on y aille plus loin…

Alors il veut continuer moi cela ne me dérange pas du tout, mais va-t-il avoir le courage ? Je ne sais pas enfin il prend mon sexe en main. Ma respiration commence à devenir plus rapide enfin avec ce geste je suis sûr de ses attentions maintenant. Je retire sa main à contre cœur, mais je veux d'abord lui retirer son pantalon et son sous-vêtement et c'est ce que je fais. Je le regarde, il est en érection devant moi et cela est encore plus bandant d'ailleurs mon sexe devient encore plus dur. Je reprends sa main et je la pose sur mon sexe ceci fait je pose la mienne sur son sexe et je commence des mouvements de va et viens.

- Tu devrais suivre mes mouvements

Il a ôté sa main… J’ai peur tout d’un coup. Il s’est vraiment moqué de moi ? Il serait allé jusqu’à se foutre à poil juste pour pouvoir se marrer un bon coup ? Mais non….Il enlève mon pantalon et mon boxer, et nous nous retrouvons presque nus l’un en face de l’autre. Je suis encore plus excité, et je sens que lui aussi. Je ne l’ai jamais fait avec un homme, et je ferais peut-être bien de le lui dire…Enfin pour l’instant, il y a d’autre choses plus intéressantes. Comme le fait qu’il ait reposé ma main sur son érection et que la sienne commence à caresser la mienne.

- Tu devrais suivre mes mouvements.

Bien sûr que j’allais le suivre ! Je commençais donc à caresser cet endroit si sensible chez n’importe quel homme. Je gémissais par moment. C’était bon. Mais très vite la position debout ne me suffit plus. Je lui indiquais le bureau de ma tête, puisqu’une de mes mains caressait l’intimité de monsieur et que l’autre s’accrochait à son épaule.

- On pourrait pas….enfin……. ?

Je détournais le regard, en rougissant. Enfin. Il devait sûrement avoir compris, non ? Milles questions me traversaient la tête. Comment on fait ça ? Qui au-dessus ? La porte est-elle bien fermée ? Et si on nous voyait ? J’étais totalement paniqué, mais ses caresses me faisaient me sentir tellement bien que j’oubliais bien vite l’interdit, le défendu, le danger et toutes ces autres conneries pour m’abandonner au plaisir qu’il m’offrait.

Pourquoi je lui avais dit cela ? Je suis idiot, je sais très bien qu'il va suivre mes mouvements, il allait me branler sans rien avoir en retour, alors cette phrase débile j'aurais pu éviter de la sortir. Je commence à le branler tout doucement, je veux le rendre fou de désirs. Par contre j'ai oublié un fait, il suit mes mouvements, alors du coup il me rend fou aussi. On gémit quand on touche des points sensibles du sexe de l'autres. J'ai envie de le pousser jusqu'à mon bureau et le prendre sans préparation par contre je sais que ce n'est pas possible, pourquoi ? Tout d'abord quand on prend quelqu'un sans préparation même s'il l'a déjà fait cela fait mal, mais lui j'en suis pratiquement sur qu'il ne l'a jamais fait avec l'un de ses pairs donc si je le prends sans préparation je risque de lui déchirer un truc en lui et je n'ai pas envie de le conduire à l'hôpital à cause d'une envie trop présente que je n'ai pas réussi à contrôler. Il me montre le bureau de sa tête, il lit dans mes pensées ou quoi ? Bon ce n'est pas important, je le pousse jusqu'à la et je le porte pour l'assoir dessus. Je continue à le branler et lui aussi par contre je vois que ses mouvements deviennent maladroits comme ci qu'il voulait me dire un truc, mais qu'il a peur de le faire. Il s'arrête, je pousse un crie de frustration je n'aime pas quand on s'arrête en si bon chemin, mais bon je continue à le branler pour le mettre à l'aise et je crois que j'y arrive vu que sa langue se délit et il me dit ceci :

- On pourrait pas….enfin……. ?

On ne pourrait pas quoi ? Bon je crois avoir compris enfin cela me confirme qu'il est vierge vu qu'il ne sait pas comment cela se passe une relation entre deux hommes. Je soupire, je ne veux pas le forcer à aller jusqu'au bout, je crois que je vais lui laisser le choix de faire ce qu'il veut.

- Tu n'es pas obligé d'aller jusqu'au bout enfin si tu veux qu'on va jusque là je peux soit te prendre ou bien je te laisse me prendre si tu as peur que je te fais mal.

Je suis désormais assis sur le bureau du directeur, et ce même directeur me branle en ce moment-même. Ça me fait un bien fou, même si je sens que ça pourrait être mieux…

- On pourrait pas….enfin……. ?

Je voudrais lui demander si on ne pouvait pas passer à l’étape suivante. Enfin, je ne vois pas vraiment ce qu’il pourrait se passer… Il a l’air d’avoir plus d’expérience que moi, alors je vais le laisser me guider.

- Tu n'es pas obligé d'aller jusqu'au bout enfin si tu veux qu'on va jusque-là je peux soit te prendre ou bien je te laisse me prendre si tu as peur que je te fais mal.

Je réfléchis. Étrangement je n’ai pas la moindre envie de le prendre. J’ai envie de jouer au gentil petit élève soumis. Alors je m’allonge sur son bureau, faisant tomber deux trois dossiers inintéressants au passage.

- Je vous laisse faire monsieur le directeur… Vous ne feriez pas mal à un élève, n’est-ce-pas ?

Je me force à sourire tant bien que mal, pourtant j’avoue être stressé. Pas parce qu’on pourrait nous chopper, non. J’ai juste peur d’avoir mal…enfin, si ça ressemble à ses caresses, ça ne peut que me donner du bien, non ?

- Tu n'es pas obligé d'aller jusqu'au bout enfin si tu veux qu'on va jusque-là je peux soit te prendre ou bien je te laisse me prendre si tu as peur que je te fais mal.

Je ne veux pas qu'il est peur pour ce qu'il va se passer, alors j'ai préféré lui demander son avis s'il voulait être au dessus ou en dessous. Je n'ai jamais été vraiment soumis à une autre personne bon je me suis déjà fait baissé dans le sens la, mais c'était plus par obligation que par envie. Avec lui je ne sais pas cela ne me dérangerai pas d'être le passif, alors que généralement je déteste avoir quelqu'un en moi, j'ai l'impression qu'on me possède et cela m'ennuie plus contre chose. Enfin après c'est impossible que c'est par envie que je lui propose ceci, je ne veux simplement pas le mettre mal à l'aise et s'il veut pas qu'on couche ensemble je vais finir frustrer de plus avec le manque que je ressens cela ne va pas être très plaisant. Il s'allonge sur mon bureau, il fait tomber des dossiers, je grogne de sa faute je vais devoir faire du rangement quand tout ceci sera terminé. J'arrête de le branler de toute façon avec la position qu'il a prit c'est trop dur pour lui donner du plaisir.

- Je vous laisse faire monsieur le directeur… Vous ne feriez pas mal à un élève, n’est-ce-pas ?

Il me sourie, je lui sourie pour le détendre. Il va falloir que je trouve un moyen pour qu'il arrête de stresser où je vais lui faire mal et ce n'est pas ce que j'ai envie. Je voudrai qu'il prend autant de plaisir que moi je vais prendre en le chevauchant. Je me rapproche tout doucement de lui, je monte sur le bureau et je me mets à califourchon sur lui. Je lui caresse le torse tout en rapprochant ma bouche de ses tétons pour commencer à les lécher et sucer. Quand je vois qu'il est sur le point de me supplier, je lui dis tout en descendant du bureau :

- Descend et appuie toi sur le bureau, mais avant lèche mes doigts !!

Il a arrêté toute caresse, et ça me gêne un peu. Mais il est temps de passer à la suite.

- Je vous laisse faire monsieur le directeur… Vous ne feriez pas mal à un élève, n’est-ce-pas ?

Oui. Je suis prêt à lui donner ma première fois de ce côté-là. Pourquoi, ça je n’en sais foutrement rien. Tout ce dont j’ai envie, là, maintenant, c’est de ressentir de nouveau le plaisir de tout à l’heure. Je lui souris et il me rend son sourire. Puis il se met à califourchon sur moi. Je le regarde se pencher pour embrasser mes tétons, les lécher, les sucer. Chaque petite action de sa part me rend fou. Rien que me faire ça me donne du plaisir, c’est super bizarre… C’est différent d’avec les filles. Je commence à ne plus en pouvoir par contre. Je lui jette un regard larmoyant, presque suppliant. Il semble le voir et descend du bureau.

- Descend et appuie toi sur le bureau, mais avant lèche mes doigts !!

Il a un ton autoritaire, et j’aime ça. Je descends à mon tour et m’appuie sur le bureau en bois, avant de prendre ses doigts et de les lécher langoureusement. Cette situation n’a pas fini de m’exciter. Je commence à les lécher tout en descendant ma main moi-même vers mon érection tendue. Je n’en peux presque plus.. Je retire les doigts de ma bouche.

- S-S’il vous plait..

- Descend et appuie toi sur le bureau, mais avant lèche mes doigts !!

Je lui avais donné un ordre sur ce coup je ne suis pas sûr qu'il m'obéit vu qu'il est plutôt rebelle. Il descend à son tour du bureau, je pousse un soupir de soulagement, il ne m'a pas désobéit ce qui m'étonne enfin tant mieux cela nous évitera de perdre du temps. Il s'appuie sur mon poste de travail, je ne dis rien, je le laisse faire. Il commence à prendre mes doigts et les sucer. Mon souffle devient rapide, je gémis, je me demande ce que cela fera quand il prendra mon membre en bouche. J'essaye d'envoyer cette pensée ailleurs ce n'est pas le moment que je réfléchis à ce que ferait sa bouche sur mon sexe. Il arrête de me les sucer, je le fais se plier pour me faciliter la tâche quand je vais rentrer un doigt en lui.

- S-S’il vous plait..

Il n'a pas besoin de me supplier, j'en ai marre aussi, j'ai envie de lui à en mourir. Ce que je veux c'est être en lui. Je rentre un doigt en lui. Je vois qu'il se crispe, c'est mauvais.

- Touche toi

Je fais des va et viens tout doucement pour ne pas le brusquer quand je sens qu'il n'a plus mal, je rentre un deuxième, j'attends qu'il s'habitue à mes doigts pour commencer des mouvements de ciseaux en lui.

Sorry:

Il rentre un doigt en moi, et je ne peux retenir un petit cri de surprise. Ça m’a vraiment fait mal… Enfin, la douleur passe, mais c’est quand même dérangeant après tout… Je me demande ce que ça sera quand ce sera lui qui s’introduira en moi.

- Touche-toi.

C’est la première fois que j’aime recevoir des ordres, et les exécuter. Mais bon, une exception de temps en temps ne peut pas me faire de mal. Tandis qu’il commence à bouger son doigt, je commence à faire des vas et vient sur mon érection tendue. Ce plaisir-là me fait peu à peu oublier la douleur des doigts, et du coup le second doigt passe tout seul. Il me fait des mouvements de ciseaux, et je sens que je suis habitué. J’en veux même encore plus. J’arrête tout mouvement sur mon membre et je retire doucement ses doigts de mon intimité.

- À vous maintenant….

Je ne lui laisse pas le temps de me répondre et je me m’abaisse pour me retrouver face à son membre. Je n’ai jamais fait ça de ma vie, alors j’essayerais d’imiter les filles qui me l’ont fait… Je commence par toucher son membre de haut en bas lentement. Je le taquine volontairement, puis je le regarde en souriant.

- J’espère que vous avez fermé la porte, monsieur.

Et je prends son membre en bouche, y appliquant des mouvements rapides dès le début.

Je lui ai rentré un doigt et il c'était crispé cela confirme qu'il est encore vierge de ce côté là. Je sourie, je vais être le premier à le faire mien et cela gonfle mon cœur de joie, je ne sais pas ce qu'il m'arrive, mais le fait qu'il est vierge du derrière me remplie de bonheur, alors que d'habitude je m'en fous de baiser avec quelqu'un qui l'a déjà fait. Bon de toute façon ce n'est pas le moment de se questionner sur ce que je ressens, mais d'agir. Il se branle tant que je fais des va et viens avec mon premier doigt en lui quand je vois que la douleur n'est plus là j'en rentre à deuxième. L'intrusion n'a pas l'air de le déranger, mais pour être sûr de ne pas lui faire mal, j'attends un peu avant de commencer des mouvements de ciseaux à l'intérieur de lui pour agrandir son trou. Au bout d'un moment il arrête de se toucher et je me demande quoi quand il retire mes doigts de lui. Je le regarde avec interrogation en attendant qu'il me dit pourquoi il c'est arrêté en si bon chemin. Je suis certain que je ne lui ai pas fait mal, donc il m'a arrêté pour autre chose.

- À vous maintenant….

Comment cela à moi maintenant ? Il me raconte quoi encore ? Il ne me laisse pas le temps de répondre qu'il s'abaisse à la hauteur de mon membre. Il est à genoux devant moi et il n'a pas honte. Il n'est pas normal ce garçon, il ne l'a jamais fait et il se met comme cela à genoux, alors quand plus il a l'air d'aimer se rebeller. Je soupire, il commence à me toucher mon membre à des endroits stratégiques. Je gémis, monsieur est entrain de me chercher, j'aurais dû me douter que cela était trop simple. Il lève sa tête et il me regarde en souriant. Je voudrai lui dire connard, mais je n'ai pas le temps de le faire, car il parle.

- J’espère que vous avez fermé la porte, monsieur.

Il m'énerve bien sur que la porte est fermé cela se voit-il pas ? Il me rend dingue ce mioche. J'ai envie de lui dire de se lever et qu'il arrête ses conneries, mais je ne peux rien dire. Il prend mon membre en bouche et il y applique des mouvements rapides pour me faire perdre la tête. Je gémis comme jamais je ne l'avais fait. On dirait un adolescent en pleine crise d'hormones.

- Oh... putain... ne t'arrête surtout pas le mioche...