Tout commence par un début [Rp Ichiko][Yaoi][Fini]

- Oh... putain... ne t'arrête surtout pas le mioche...

Le mioche. Ce simple mot suffit pour me mettre en rogne. Je retire son membre de ma bouche et le regarde avec une expression énervée. Un mioche. Je me relève et m’adosse au bureau, croisant les bras. Je sais bien que je suis un de ses élèves et qu’il est plus vieux que moi. Mais ce n’est pas une raison pour m’appeler comme ça… Je claque la langue d’énervement et détourne le regard, bien décidé à arrêter là.

Mais mon désir ne fait que grandir. J’ai secrètement envie qu’il me prenne en fait. Même si je n’ai pas envie de me faire appeler comme ça, surtout pendant l’acte… Je soupire. J’ai trop envie de jouir pour bouder. En plus bouder est une attitude de gamin. Et je le regarde à nouveau, une expression désireuse sur le visage.

- Faites-le, monsieur le directeur…

Ma voix était moqueuse. En fait, c’était surtout pour répondre à son « le mioche ».

- Oh... putain... ne t'arrête surtout pas le mioche...

Je n'ai pas pu m'empêcher de l'appeler comme cela et il n'est pas dû tout content vu qu'il arrête de me sucer. Je crie de frustration, mais je ne lui dis pas de reprendre mon membre de suite en bouche, je sais très bien qu'il ne va le faire. Je l'ai vexé dans sa fierté de gamin enfin j'ai de la chance qu'il lit pas mes pensées, je serrai mort déjà avec un mioche il me lance un regard noir, alors je m'imagine même pas s'il entend mes pensées. Il s'adosse à mon bureau en croisant les bras, typique d'un enfant, mais bon je ne dis rien je le laisse faire. Même s'il me boude pour le moment son sexe va vite le rappeler à l'ordre et il va me supplier de le prendre, donc je n'ai pas à m'en faire, il faut simplement que j'ai la patience d'attendre que mon jouet lui dit qu'il a pas intérêt de gâcher ce qu'il allait se passer seulement pour une réaction d'enfants de 5 ans. Il a arrêté de me regarder, il doit surement réfléchir quand ceci est fait il me regarde avec désir que disais-je tantôt ? Qu'il allait me supplier ? Bon cela ne va pas tarder vu le regard qu'il me lance.

- Faites-le, monsieur le directeur…

Il me dit le directeur d'un ton moqueur. Il croit que je vais me mettre à bouder ou quoi ? Je sais très bien que je suis trop jeune pour être directeur, mais bon l'héritage de famille m'oblige, je n'y peux rien. Je l'embrasse au coin des lèvres avant de le retourner. Il a de la chance que mon membre est encore enduit de bave, il aurait eux mal sinon enfin de toute façon il va forcément ressentir de la douleur. Je le mords dans le cou, je le marque comme mien pour une raison obscure, mais je n'y fais pas attention, je rentre en lui d'un coup pour qu'il ressent la douleur seulement une fois. J'attends qu'il s'habitue à ma présence avant de commencer des va et viens en lui et pour faciliter la chose je prends son membre en main et je le branle pour lui faire oublier la douleur.

Je l’ai supplié, il doit sûrement se moquer de moi dans ses pensées. Enfin… Il s’est penché vers moi et m’a embrassé au coin de mes lèvres. Ce n’est pas vraiment un baiser à proprement parlé, mais ça me fait quand même rougir comme une grosse tomate. Et puis encore ?

Il me retourne et je pose mes mains sur le bureau. Je sais parfaitement ce qu’il s’apprête à faire, et l’imaginer ne m’excite qu’encore plus. Il me mordille ensuite le cou, je vais avoir la marque pendant quelques jours mais je m’en fous. Et puis il entre en moi.

La douleur se fait ressentir et je me mords violemment pour ne pas hurler. Ça fait mal, bien plus mal que ses doigts… Il ne bouge pas et je le remercie mentalement d’être aussi patient. Puis il bouge lentement, tout en appliquant des mouvements de va et vient sur mon membre.

Peu à peu la douleur s’en va, laissant place au plaisir. Je gémis doucement. Je suis gêné de faire ça, en plus sans le voir, sans voir ce qu’il me fait. Même si je prétends être un mec cool, j’ai toujours prêté une attention particulière à ce que ressentait mes partenaires quand on « le » faisait.

- M-Monsieur… je..veux vous voir…

Je me mords la lèvre. C’était stupide à demander….

- P-Plus vite…

J'étais rentré d'un coup en lui, j'ai deux raisons pour avoir fait cela la première c'est que comme cela il a que mal qu'une fois et la deuxième est qu'il a eu accès mal pour arrêter de se moquer de moi. Je suis plus fort que lui, il ne faut pas qu'il l'oublie. J'ai en quelque sorte pris ma vengeance pour toutes ses moqueries depuis le début de l'après-midi. Je ne bouge pas tout de suite, j'attends qu'il s'habitue à mon sexe en lui, je pourrai faire mon connard et le baiser comme un chien, mais je ne le ferai pas, je lui ai en quelque sorte promis de ne pas le blesser et il ne mérite pas cela même s'il me met à bout de nerfs. Je le branle à la même vitesse que mes va et viens en lui ce qu'il veut dire que c'est lent vu que je ne veux pas lui faire mal. Quand je vois qu'il n'a plus mal, je vais plus vite sans tout de fois aller à la vitesse maximal.

- M-Monsieur… je..veux vous voir…

Aucun autre homme m'a vu prendre du plaisir quand je le baise et lui il me demande à me voir. Que fais-je ? J'accepte ? Ou je lui dis d'aller se faire foutre ? Bon il se fait déjà foutre donc cela est un peu trop tard pour lui dire cela. Je me retire entièrement de lui. Je m'assoie sur mon bureau et je le porte pour que son trou soit près de mon sexe. Je continue de le tenir, mais je lâche un peu ma prise pour que mon sexe rentre en lui. Je le relève et je le relâche pour faire des va et viens, c'est un rythme plutôt lent, mais je ne peux pas vraiment aller plus vite.

- P-Plus vite…

Il me demande d'aller plus vite, mais je peux pas sinon je le ferais, car là franchement cela commence à me rendre fou d'aller au si lentement.

- Je ne peux pas imbécile sinon je le ferais ... Ce rythme est entrain de me tuer...

Je suis maintenant face à lui et assis sur lui. J’aime bien le voir, c’est étrange, même si ses mouvements sont plus lents qu’avant.

- P-Plus vite…

Je me sens vraiment bien, et j’en veux même plus. C’est la première fois que je fais ça avec un homme. Mais j’aime déjà ça. La situation est assez excitante, aussi. On pourrait se faire chopper n’importe quand. De plus nous n’avons légalement pas le droit de faire ça, je suis encore mineur pour quelques mois. Enfin, je ne devrais pas penser à toutes ces choses et simplement goûter au plaisir qu’il m’offre.

- Je ne peux pas imbécile sinon je le ferais ... Ce rythme est en train de me tuer...

C’est vrai qu’il a un corps d’apparence assez faible. Je souris et commence à bouger avec lui, prenant la relève, ondulant des hanches pour le rendre fou.

- Je vais vous aider alors…

Je lui parle avec une voix que j’essaye de rendre attirante. J’ai envie qu’il prenne du plaisir avec moi, j’ai envie qu’il aime ce que nous faisons, je veux voir l’orgasme sur son visage. Je ne dois vraiment pas être dans mon état normal.

Je bouge aussi vite que je le peux maintenant, et mes gémissements se transforment peu à peu en cris. Si ça continue comme ça je ne vais pas tenir très longtemps.

- Je ne peux pas imbécile sinon je le ferais ... Ce rythme est en train de me tuer...

J'ai peur d'un coup qu'il se moque de moi. Je ne suis pas de taille et de corpulence très généreuses. J'ai pris pratiquement tous les caractères de ma mère et cela est plutôt soulant quand tu as un caractère de dominant. D'ailleurs souvent quand je dis un quelqu'un que je domine, on ne me croit pas, je n'ai vraiment pas la tête d'être un leader enfin tant pis. Il sourie, je le sens mal, il va prendre sa revanche. Ah ben je crois que j'ai tord, il commence à bouger avec moi ce qui fait que le rythme est plus rapide, je pousse un gémissement que cela fait du bien d'aller plus vite.

- Je vais vous aider alors…

Il n'est vraiment pas méchant, j'aurais été à sa place, je me serrai moqué, mais lui non et j'en suis rassuré. Je lui fais un sourire franc. Je dépose même un baiser sur ses lèvres pour lui montrer que cela me fait plaisir qu'il se moque pas de moi. Le rythme est vraiment rapide, je continue de gémir lui il crie, je sourie, il aime et je suis content. Par contre avec ce rythme je vais bientôt jouir de plus cela faisait trop longtemps que je n'ai rien fait, alors je vais venir plus vite que d'habitude. Je bouge du bassin pour encore aller plus vite, j'essaye de prendre son membre en main et je le branle au rythme de nos mouvements.

-Tu es vraiment doué pour ta première fois ga.... I-chi-ko....

Il m'a embrassé. Même si c'était furtif et que ça n'a duré que quelques secondes ça reste un baiser. Je me sens bien tout d'un coup. Je sens que je vais pas tarder à venir. Lui aussi apparemment, vu qu'il commence à me branler au rythme de nos mouvements.

- Tu es vraiment douée pour ta première fois ga....Ichi...ko...

J'ai enviede lui dire que c'est lui qui as presque tout fait jusque maintenant et que moii je ne faisais que le suivre. Mais enfin c'est pas si mal d'être à la place de la fille. Je n'arrive pas à lui répondre parce que je jouis entre ses doigts, dans un long cri de plaisir. Je le sens venir en moi lui aussi. Je me laisse tomber  sur lui. Putain. C'était trop bon.

Je venais de jouir en lui et lui en moi. Il est sur moi donc je ne peux pas me retirer, je soupire pour lui montrer que je ne suis pas dans une position très agréable. J'attends qu'il bouge, mais je crois qu'il n'a pas fait attention à mon soupire. Je le porte et je le pose au sol. Je regrette de l'avoir fait avec lui, c'était un bon coup, mais il reste tout de même un élève de plus il n'a même pas encore 18 ans donc je peux avoir des problèmes avec la loi s'il en parle à quelqu'un. Je vais devoir avoir une conversation avec lui sans le vexer si je veux pas qu'il commence à crier. Je prends un mouchoir pour essuyer ma main ce n'est pas que le sperme me dégoute, mais j'essaye d'enlever toute trace de cet acte. Je tourne autour de lui pour finir derrière, je reprends un mouchoir et j'essuie le sperme qui coule de son derrière des plus appétissant quand on regarde de plus près. Je suis vraiment un obsédé, je voudrai remettre le couvert, alors que je sais très bien que la deuxième fois que tu es en érection cela fait mal. Je ramasse nos vêtements à terre, je lui tends les siens. Il les prend, je me rhabille. Aucun de nous deux à parler enfin il va falloir que je romps le silence.

- Monsieur Nagayama, je m'excuse pour ce qu'il vient de se passer, mais c'était une erreur. Ce n'est pas que vous me plaisez pas, loin de là. On va plutôt dire que c'est interdit, alors il ne faut pas qu'on recommence et je vous demande d'en parler à personne.

Je respire un grand coup. Je n'ai pas fini de parler et avant qu'il répond à ceci je rajoute :

- Votre heure de colle est terminé, vous pouvez partir. Que je ne vous reprends plus à sécher les cours où bien vous aurez de grave problèmes.

Il m'avait posé par terre. Je respirais bizaremment, j'avais les hanches qui tremblaient et mon cœur battait à cent à l'heure. Je le regarde s'essuyer avec un mouchoir, puis m'essuyer moi. J'aurais presque envie de le refaire. Mais apparemment il ne veut pas, puisqu'il me tends ses fringues et se rhabille. Je l'imite et m'assieds de nouvau par terre.i a l'air de vouloir me parler, alors je l'écoute.

- Monsieur Nagayama, je m'excuse pour ce qu'il vient de se passer, mais c'était une erreur. Ce n'est pas que vous me plaisez pas, loin de là. On va plutôt dire que c'est interdit, alors il ne faut pas qu'on recommence et je vous demande d'en parler à personne.

Ce qu'il vient de dire me brise quelque chose en moi,mais je ne sais pas quoi. Mais ça me blesse. Évidemment que je n'allais en parler à personne ! Et ce que nous venons de faire n'est pas une  erreur... du moins pour moi.

- Votre heure de colle est terminé, vous pouvez partir. Que je ne vous reprends plus à sécher les cours où bien vous aurez de grave problèmes.

J'ai bien compris ce qu'il essaye de me dire. "Désolé, t'es super pour baiser mais j'veux pas d'enmerdes, alors casse-toi". Je me relève sans même le regarder et pose la main sur la poignée de la porte.

- Je sécherais autant de fois qu'il le faudra si c'est pour qu'on le refasse.

Et je sors de son bureau.

[FIN du RP]