Dis-le moi [PV Alf]

Ça faisait maintenant presque une semaine que je sortais avec Alf Curtis, le directeur de mon lycée. Nous étions obligés de nous cacher, du moins jusqu’à mes 18 ans, qui n’arriveraient que dans quelques mois. En attendant, nous ne nous voyions que très furtivement. À part les fausses convocations dans son bureau pour qu’on puisse le faire, on n’avait pas passé de longs moments ensemble. Bon bien sûr, il fallait qu’on soie discrets mais quand même.

Je me balade dans les couloirs. C’est la pause de midi, et comme d’habitude je me fais chier. Je n’ai pas envie d’aller dans son bureau de peur de le déranger, alors je traine tout seul. Je ne me suis pas lié d’amitié avec des gens de ma classe, sinon les filles essayeraient de me mettre le grappin dessus, et ça je n’en ai pas très envie. Je suis avec la personne que j’aime, et ça me suffit.

Parfois je doute. Je n’aurais jamais cru qu’il accepterait de sortir avec moi après que je lui aie avoué mes sentiments, mais c’est arrivé. Peut-être qu’il a seulement dit ça pour me garder en tant que jouet sexuel ? Franchement je n’en sais rien. Il ne m’a jamais dit qu’il m’aimait non plus. Bon, ça il m’a dit clairement qu’il n’était pas ‘’encore’’ amoureux de moi. Mais que ça n’allait pas tarder.

Je m’arrête après avoir fait deux fois le tour de l’école et je rentre dans une salle de classe vide. Je m’assois sur un banc, sort mon téléphone portable et commence à jouer à un jeu. Si je dois passer le reste de l’heure de midi seul, autant la passer à ne pas se faire chier.

Je suis dans mon bureau entrain de réfléchir à une solution pour voir mon petit ami plus souvent. En parlant de petit ami, c'est un élève du lycée que je dirige. Il n'a pas encore ses 18 ans, mais cela est une question de mois donc ça va. Enfin jusqu'à tant qu'il n'a pas l'âge légal pour être avec une personne de 20 ans, je ne parlerai de notre relation à personne c'est pour cela que j'ai besoin d'une solution pour le voir plus. Je le convoque de temps en temps pour qu'on se voit, mais cela va finir par donner des idées à quelques personnes de mon entourage et ça ne doit pas arriver. Je soupire, j'ai vraiment envie de le voir plus. Bon à chaque fois qu'on se voit, on le fait, car on est souvent en manque du corps de l'autre, mais j'ai envie de lui prouver que je ne suis pas avec lui que pour le sexe. Cela fait déjà une semaine qu'on sort ensemble, mais mes sentiments on enfin éclatait au grand jour par contre je ne lui ai toujours pas dit que je l'aime. Je ferai ceci pendant un moment spécial pour qu'il voit que je tiens à lui comme à ma propre vie.

Je me lève de ma chaise. Je commençais à avoir des douleurs dans les fesses à force d'être assis. Je tourne un peu dans mon bureau toujours en réfléchissant à un moyen pour le voir. On ne peut pas vraiment sortir dans des lieux publiques, il a toujours le risque qu'on croise quelqu'un qu'on connait. Il y a bien sûr ma demeure, mais depuis que je suis avec je ne l'ai toujours pas réinvité. Je lui donnerai surement rendez-vous là-bas ce samedi comme cela on pourra profiter de la piscine et parler de tout ce qui nous passe par la tête. Oui cela c'est une bonne idée maintenant il faut que je lui demande. On est quand même jeudi j'espère qu'il n'a rien prévu. Va falloir que je lui demande tout de suite si je ne veux pas me prendre un râteaux. Je regarde mon horloge au dessus de la porte. Les cours sont finis en le connaissant il doit se balader dans les couloirs.

Je sors de mon bureau et je fais le tour des couloirs pour avoir une chance de le croiser. Je le vois au détour d'un couloir, je marche plus vite pour le rattraper. Je le vois rentrer dans une salle de classe vide. Je me demande ce qu'il fait là. A-t-il rejoint quelqu'un ? Je grimace, j'espère que je me trompe s'il m'a trompé comme cela je ne lui pardonnerai pas. Je me suis attaché à lui, je l'aime, alors il ne faut pas qu'il va voir ailleurs. Je prends mon courage à deux mains et je rentre dans la salle.

Je le vois seul sur un banc avec son téléphone, je sourie. Il est seul, il ne me trompe pas. Il se repose tout simplement. Je m'approche vers lui, mais je fais le tour pour passer mes bras autour de son cou. Je lui murmure à l'oreille.

- Bonjour Ichi

Je suis concentré dans mon jeu, tellement concentré que je n’entends pas le bruit de la porte qui s’ouvre, ni les bruits de pas qui se faufilent derrière moi. Quand ses bras se passent autour de mon cou, je sursaute mais me laisse faire. Il n’y a qu’une personne pouvant me faire ça.

- Bonjour Ichi.

Il a murmuré à mon oreille. Je rougis et met mon téléphone dans ma poche, avant de me tourner vers lui pour l’embrasser. Puis je descends du bureau pour me retrouver debout devant lui.

C’est vrai que pour l’instant, il ne m’a jamais dit clairement qu’il m’aimait. De mon côté, je le lui ai dit le jour où je me suis retrouvé avec la gueule de bois chez lui. Et il avait accepté mes sentiments pour lui, en me disant qu’il n’en avait pas pour l’instant, mais que ça n’allait pas tarder. Je me demandais s’il en avait, là, maintenant ?

- Qu’est-ce v…tu fais là ?

J’ai du mal à m’habituer à le tutoyer quand nous ne sommes rien que tous les deux, et à le vouvoyer le reste du temps. Ce qui fait que parfois, je le vouvoie sans vraiment le faire exprès. Je me rassois sur le bureau, lui prenant la main pour l’attirer vers moi et l’entourer de mes deux jambes, avant de l’embrasser sur la joue. Vivre un amour caché et interdits rendait les moments à deux rares et privilégiés. Et j’aime beaucoup nos moments rien qu’à deux.

Je rentre dans la salle, je veux voir s'il est venu rejoindre quelqu'un ou pas. Je sais que la curiosité est un mauvais défaut, mais je suis obligé de savoir s'il me trompe. Je ne pense pas que cela soit le cas, mais on ne sait jamais. La porte ouverte, je le vois sur un banc avec son téléphone. Il est tellement concentré qu'il ne me remarque pas. Je marche jusqu'à lui, mais je passe par derrière pour le surprendre. Je l'entourre de mes bras. Je le sens sursauter, je sourie, il ne se dégage pas ce qu'il veut dire qu'il m'a reconnu peut-être à mon parfum ou bien il a que moi qui aime le surprendre comme cela.

- Bonjour Ichi.

Je lui avais murmuré ses deux mots à l'oreille, mais je savaias très bien que cela lui ferait de l'effet Il doit surement rougir, il est souvent prévisible. J'arrive à le cerner plutôt facilement enfin il ne faut pas surestimer quelqu'un cela peut s'avérer très dangereux. Il range son téléphone dans sa poche et se retourne pour m'embrasser. Je réponds à son baiser, il en a tellement peu que je profite de chaque miette de temps que j'ai avec lui. D'ailleurs c'est pour cette raison que je suis ici, je vais l'inviter à passer la journée de samedi chez moi.

- Qu’est-ce v…tu fais là ?

Je fais une grimace. Il a toujours dû mal à me tutoyer quand on est seul. Je sais très bien qu'il a l'habitude de me vouvoyer devant d'autres personnes, mais j'aimerai que cela soit facile de me tutoyer quand je suis avec lui. Je n'aime pas trop qu'il se ratrappe enfin on n'y peut rien c'est ainsi. Par contre pour ce que je fais là, il va falloir que je lui réponde si je veux l'invité. Il va s'assoir sur le bureau et il m'attire à lui en passant ses jambes autour de ma taille. Je rigole quand il m'embrasse sur la joue parfois il a des gestes trop mignons qui me font craquer. Donc bref il faut que je lui dis le but de ma présence ici.

- Je suis ici pour t'invité chez moi ce samedi. Acceptes-tu m'a demande d'invitation ?

- Je suis ici pour t'inviter chez moi ce samedi. Acceptes-tu ma demande d'invitation ?

Chez lui ? Je me mordis la lèvre. Je n’avais été qu’une fois chez lui, le jour où je m’étais retrouvé complétement bourré. Et dans mon souvenir, bien que flou, je savais très bien qu’il s’agissait d’une de ces maisons de bourges prétentieux. Bon, lui n’en est pas un, donc ce n’est pas grave. Je le regarde dans les yeux et colle mon front au sien, lui souriant.

- Bien sûr que j’accepte.

Mais s’il me demande de venir samedi… Cela veut dire qu’on ne fera rien avant. Je n’ai pas envie de me faire plaisir tout seul avec ma main droite jusque-là. Je me colle un peu plus à lui, avec une expression excitée dans le regard.

- Tu n’as plus rien à faire après, je me trompe ? On pourrait en profiter tous les deux…

Je n’ai même pas envie d’attendre qu’il me dise oui, je commence de moi-même à déboutonner sa chemise. Nous sommes dans une salle de classe ? Eh bien tant pis. Rien ne garantit que je saurais retenir mes gémissements, mais j’en ai trop envie pour ne penser ne serait-ce qu’un seul instant à m’arrêter.

Je suis ici pour t'inviter chez moi ce samedi. Acceptes-tu ma demande d'invitation ?

Je sais que certaines personnes n'aimeraient pas venir chez moi pour cause que j'ai une maison de bourgeois, mais je n'y peux rien si j'habite dans la demeure de mes ancêtres et qu'il avait un petit côté prétentieux. Je grimace d'ailleurs je n'aime pas trop qu'on voit là où j'habite, car après on s'intéresse à moi que pour l'argent si j'accepte qu'il vient c'est parce que je sais qu'il ne s'intéresse pas à ceci, mais à moi. Il me regarde et vient coller son front à mon front en me souriant. Je lui rends son sourire, je suis si bien avec lui. Je n'ai plus envie de me séparer de lui, j'espère donc que quand je lui demanderai sa main il ne refusera pas de m'épouser.


- Bien sûr que j’accepte.

Je laisse un soupir de soulagement sortir de mes lèvres. J'ai quand même eu peur qu'il refuse ma demande de plus s'il y l'aurait fait je n'aurais rien pu dire je ne suis pas encore son mari et je sors avec lui seulement depuis une semaine donc il ne risque pas de m'obéir même si je lui ordonne. Il se colle un peu plus à moi, je me demande ce qu'il lui prend et le désir qui s'allume dans ses yeux n'augurent rien de bon.

- Tu n’as plus rien à faire après, je me trompe ? On pourrait en profiter tous les deux…

Hein comment cela ? Je n'ai pas très bien compris sa phrase. En profiter tous les deux cela veut dire quoi ? Il commence à déboutonner ma chemise ce qui ne laisse plus de toute pour ce qui est de profiter, mais on ne peut quand même pas le faire dans une salle de classe, si ? Oh et je m'en fous c'est excitant d'essayer de nouveaux endroits. Je le pousse jusqu'au bureau, je lui enlève son maillot, je déboutonne sa ceinture et la lui retire par contre je n'en ai pas encore fini, je fais glisser sa braguette ensuite je lui retire son pantalon et son boxer. Je me mets à genoux devant lui. Je souffle sur son sexe pour l'exciter maintenant je me demande si je le suce ou pas. La dernière fois il a refusé, bon je préfère lui demander au cas où.

-Veux-tu ?

Je le laisse me pousser jusqu’au bureau, m’enlever mon t-shirt et ma ceinture, faire glisser ma braguette et me ôter mon pantalon ainsi que mon boxer. Tous ces gestes me paraissent tellement naturels que je ne suis même plus gêné, réticent comme avant. Je n’ai plus peur de le laisser faire, il a plus d’expériences que moi avec les hommes. D’ailleurs, je me demande avec combien d’autres il l’a fait. Je sais que ce n’est pas le moment, mais ça me fait chier quand même de savoir que je ne suis qu’un partenaire parmi tant d’autres…

Je le regarde se mettre à genoux devant moi. Il souffle sur mon sexe, ce qui a le don de m’exciter. Puis il relève les yeux vers moi. Je le trouve beau, malgré que ses traits soient semblables à ceux d’une fille, il est très masculin.

- Veux-tu ?

C’est vrai que la dernière fois, j’étais sur le point de jouir, donc j’avais refusé. Mais cette fois…. J’en ai trop envie pour ne serait-ce qu’hésiter un instant.

- O-Oui… Je te fais confiance.

- Veux-tu ?

Je n'avais jamais sucé un autre homme. Je trouvais cette caresse trop personne. Enfin il n'est pas comme les autres personnes avec qui je les fais. Il est la personne avec qui j'ai envie de faire ma vie ce qui n'est jamais arrivé avant. J'étais à genoux devant lui, l'homme que j'aime, je ne lui ai pas encore dit, mais cela ne sera plus tarder, je compte remédier à tout ceci ce week wend. Mon souffle vient s'écraser sur son sexe ce qui doit l'exciter. Je sourie, j'ai envie de l'avoir en bouche pour savoir ce que cela fait, mais en même tant j'ai peur de mal faire ou qu'il me rejette. Je le regarde pour voir qu'il va me dire. J'essaye de deviner, je ne suis pas médium, je n'y arrive pas, je soupire.

- O-Oui… Je te fais confiance.

Je soupire un grand coup. Je prends mon courage à demain. Je laisse ma langue venir taquiner le bout de son pénis. Je le lèche tout doucement. Je sais que cela va lui faire de l'effet, c'est l'un des points sensibles des hommes. Il gémit, je soupire dans ma tête, je lève mes yeux vers lui pour lui dire de la mettre en sourdine s'il ne veut pas qu'on arrête notre activité en plein milieu. J'ouvre ma bouche et je fais pénétrer son sexe dans ma bouche. Je ne peux pas l'avoir entier à l'intérieur, il est trop gros. Je ne me risque pas à aller jusqu'au bourse. Je commence des va et viens lents pour m'habituer à la sensation de son sexe dans ma bouche. Cela doit lui faire voir des étoiles, mais aussi le frustrait ce rythme. Quand je vois que je m'adapte à son sexe, j'accélère pour lui faire atteindre le nirvana. Au bout d'un moment je sens qu'il va jouir, j'arrête de la sucer. Je retire son entre jambe de ma bouche, je me lève, je l'embrasse sur le coin des lèvres. Je le regarde avec un sourire, son visage est rouge, il a le souffle saccadé cela m'allume. Je retire mon pantalon et mon boxer. Je me mets à quatre pâtes sur la table, je vais faire quelque chose que je n'ai jamais fait au paravent. Je trouverai cela humiliant d'habitude, mais pas avec lui.

- J'ai envie que tu me prends Ichiko.

Je laisse tomber mon torse contre le bureau pour avoir plus facilement accès à mon antre. Je me rentre un doigt moi-même. Je sens que mon anus se dilate, je commence à me faire des propres mouvements de va et viens à l'intérieur de moi. Je sais qu'il va vite remplacer mes doigts par les siens, mais je suis pressé.

- Peux-tu remplacer mes doigts par les tiens ?

Sa langue vient taquiner le bout de mon membre. Il joue avec moi et ça m'énerve. S'il veut me pousser à bout etme voir le supplier de me prendre... eh bien il aura ce qu'il voudra. Il commence à me lécher, je ne parviens pas à retenir mon gémisemment, ce qui me vaut un de ses regards qui veut dire "Tais-toi si tu ne veux pas que ça s'arrête".

Il me met en bouche et j'ai le souffle coupé. C'est trop bon. Je commence à avoir chaud, de plus ses mouvements sont lents. Je me retiens de prendre sa tête et de le forcer à aller vite, ça lui ferait mal et je n'en ai pas envie. Il accélère doucement, j'halète, c'est vraiment trop bon. Je sens que que je vais jouir mais juste à ce moment précis, il s'arrête. J'ai envie de protester, j'avais envie qu'il finisse ce qu'il ait commencé.... Il se lève et m'embrasse au coin des lèvres... Je le vois retirer son pantalon et son boxer, dévoilant son érection. Il se met à quatre pattes sur le bureau et je commence à rougir.. et à comprendre où il veut en venir.

- J'ai envie que tu me prends Ichiko.

Son torse se pose contre le bois froid du bureau. Il est super sexy dans cette position, ce qui ne manque pas de m'exciter plus que je ne l'étais déjà. Je le regarde se rentrer un doigt en lui, et faire des vas-et-vients en lui.

- Peux-tu remplacer mes doigts par les tiens ?

Est-ce qu'il l'a déjà fait avec un autre homme ? Est-ce qu'un autre homme l'a déjà pénétré ? J'aimerais être son premier de ce côté là, mais ce serait déplacé de demander. J'enlève délicatement mon doigt et me positionne derrière lui, lui rentrant mon index doucement. J'embrassr son cou tout et bougeant le premier doigt. J'en ajoute bientôt un second, faisant des mouvements de ciseaux. Je ne peux m'empécher de lui faire un suçon, il aura du mal à le cacher mais j'aime le marquer comme mien.

- Tu es prêt Alf ?

Je mordille son oreille et rentre un troisième doigt. Suis-je vraiment son premier ? La question résonne dans ma tête, mais je n'ose pas la lui poser...

- J'ai envie que tu me prends Ichiko.

Mon torse se pose sur la surface du bureau, c'est froid, je frissonne. J'écarte mes cuisses et je me rentre un doigt. Mon anus s'étire pour pouvoir laisser mon doigt passer à l'intérieur. Je fais des mouvements de va et viens, cela ne me fait pas mal, je l'ai déjà fait plus d'une fois en passif même si je préfère être au-dessus. Je regarde Ichiko, je vois que son membre grossit. Je sourire, je lui fais donc de l'effet et cela me fait plaisir. Je n'en peux plus, je veux qu'il remplace mes doigts par les siens.

- Peux-tu remplacer mes doigts par les tiens ?

On dirait qu'il hésite à venir vers moi. Je soupire, je continue un peu mes va et viens tant qu'il se décide. Je ne peux pas vraiment m'arrêter cela me fait trop du bien. Il fini par venir et retirer mon doigt de mon antre. Je tourne ma tête vers lui pour lui faire un sourire. Il rentre délicatement son doigt en moi. Je me mords pour ne pas gémir, ce n'est pas dû tout le même. J'ai déjà eu des doigts en moi bien sûr, mais jamais le doigt de la personne que j'aime. Il me rajoute rapidement le deuxième, en même tant cela faisait déjà un moment que j'avais un doigt en moi. Il commence des mouvements de ciseaux. Je sens sa bouche qui se pose sur mon cou, il me fait un suçon, je ne dis rien, je suis trop occupé à empêcher mes gémissements de sortir de ma bouche.

- Tu es prêt Alf ?

Forcément que je suis prêt, j'attends que cela depuis tantôt. Je veux tout de lui, qu'il me possède et pleins d'autre choses. J'ai envie de passer ma vie avec lui, alors quand il voudra mon corps, je lui donnerai avec plaisir. Il mordille mon oreille, je lui laisse faire. Je trouve cela excitant de sentir son souffle contre mon oreille. Je peux l'entendre respirer comme cela. Il rentre un troisième doigt en moi, je me crispe un peu. Ca fait un moment que je n'ai pas été passif, alors j'ai des petites douleurs avec ses mouvements là. Je ne dis rien, je le laisse faire, j'attends que je sois habituer. Quand la douleur part, je suis obligé de faire attention de ne pas gémir, c'est bon, je n'aurais jamais cru prendre autant mon pied en me laissant prendre, le pire c'est qu'il n'est même pas encore en moi. Je ne peux plus, j'ai trop envie de faire un avec lui.

- Ichiko, prends moi maintenant !

- Ichiko, prends moi maintenant !

Inutile de me le dire deux fois. En essayant d’être le plus discret possible, je le retourne sur le bureau, il se retrouve dos à la table. Je le regarde dans les yeux. Tout n’est que désir dans son regard, et je ne vois pas pourquoi je me retiendrais maintenant. Je me penche vers lui et l’embrasse tendrement, me présentant devant son entrée. J’ai peur de lui faire mal. Tant de doutes, de questions dans ma tête. Je me détache de ses lèvres et rentre doucement en lui, le regardant tout du long. Une fois que je suis complétement entré en lui. Je me redresse légèrement, le souffle coupé. C’est chaud, serré, et plus que tout je me sens heureux. Je ne bouge pas pour l’instant, je lui laisse le temps de s’habituer à moi. Pour faire passer la douleur qu’il doit sûrement ressentir – lorsque je l’ai fait pour la première fois avec lui ça me faisait mal – je prends son sexe en main et le caresse.

- Tu n’as pas trop mal ?

Je me penche à nouveau vers lui pour embrasser son cou, ses joues, parfois ses lèvres. Être en lui est tellement bon….

- Ichiko, prends moi maintenant !

J'ai envie de lui. C'est fou, mais c'est ainsi, j'ai envie qu'il me prend qu'il me fait sien pour toujours. Je crois que si cela continue mon statut de dominant va en prendre un coup, enfin cela ne me dérange pas tellement que cela. Je le supplie de me prendre, je veux son membre en moi. Le sentir qu'il fait des efforts pour ressentir du plaisir avec mon anus. Il me retourne contre le bureau. Mon dos se pose sur la surface froide, je frissonne, j'ai hâte de voir ce qu'il va faire. Je sens que ce moment va être que plaisir. Il me regarde dans les yeux, je vois du désir à l'état brute, mon regard doit dire la même chose que lui. Comment ne pas le désirait ? Il est vraiment magnifique ! Je ne pourrai jamais lui résister. Il m'embrasse tendrement, je réponds à son baiser avec empressement, je le veux maintenant, alors qu'il arrête de perdre notre temps en niaiserie. Il se positionne devant mon entrée, je continue de le regarder avec désir. Allez rentre, j'ai envie de lui crier, mais je ne le fais pas, j'attends. Il rentre en moi, je pousse un long gémissement de plaisir. Il s'arrête quand il est rentré complétement en moi. Pourquoi il arrête ? Il croit que je suis vierge ? Merde, je vais avoir des problèmes s'ils croient cela. Il me caresse. Je me mords pour ne pas laisser sortir le gémissement que je voulais pousser.

- Tu n’as pas trop mal ?

Non je n'ai pas mal, je ne vois pas pourquoi j'aurais mal, mais bon je ne dois pas lui en vouloir, il ne sait pas que je l'ai déjà fait dans cette position à cause d'un gros manque. Il se penche à nouveau vers moi pour m'embrasser partout. C'est attention son mignonne, mais je veux qu'il me baise moi.

- Non, alors bouge !

- Non, alors bouge !

Sa réponse est rapide. Je n’ai pas envie de lui faire mal, j’ai envie de commencer à bouger lentement pour ressentir un plaisir incomparable… J’interromps mes baisers. Je l’imagine en train d’hurler son plaisir, complètement soumis à moi, ondulant des hanches, ne sachant où donner de la tête. C’est trop pour moi, je ne vais pas pouvoir bouger lentement.

Je fais tout de même un effort pour me reculer lentement, mais lorsque que je le pénètre à nouveau, je me perds. Tant pis pour la douceur, tant pis pour la discrétion. J’entame des mouvements de va-et-vients rapides, butoirs. Je vais encore plus profondément à chaque coup, je n’essaye même pas de me contrôler…

- T’es trop bon…

Ce que je dis non plus, je ne le contrôle pas. Je pose mes mains sur ses fesses, les écarte pour mieux le pénétrer. Je gémis, crie presque. Je suis en train de sauter le directeur de mon école, sur une table, dans une salle de classe qui plus est. Je devrais en être gêné ? Je ne le suis pas, pas du tout. Au contraire, j’en veux encore plus.

Au bout d’un moment, je viens en lui sans même le prévenir. Mais ça n’est pas assez. Moi aussi je veux me faire remplir par lui. Je ne regarde même pas s’il a joui ou non, je me retire de lui et descends de la table, pour m’allonger à même le sol, écartant les jambes et prenant une expressions des plus lubriques.

- Prenez-moi vous aussi…Monsieur le directeur..

Il ne manquerait plus que quelqu’un rentre à cet instant…

Je vois bien qu'il essaye d'aller doucement, il ne veut pas me faire mal, mais quand il rentre la deuxième fois en moi, on dirait qu'il se perd, car ses mouvements deviennent de plus en plus rapide. Il gémit, je gémis avec lui, j'adore ce qu'il me fait. Je n'ai jamais autant aimé être en position de passif. En même tant je ne l'ai jamais fait avec une personne que j'aime. Ichiko est mon premier amour, je vais lui dire je t'aime quand on sera chez moi, mais en attendant je profite de se moment. Il jouit en moi, il ne m'a pas touché donc je n'ai pas encore jouit, mais on dirait qu'il n'a pas fini. Il s'allonge au sol en écartant les cuisses, il veut que je le prend, je ne vais pas me faire prier. J'ai trop envie de jouir, j'en ai tellement hâte que je ne le prépare pas. Je rentre direct en lui dans un coup fort rapide, je n'ai jamais été violent avec lui, mais là je n'en peux plus. Je n'attends même pas qu'il s'habitue à moi, je commence des va et viens rapide et brusque. C'est tellement bon je gémis, j'essaye de faire le moins de bruit possible, mais c'est impossible quand je le possède comme cela